Grand Test comparatif de vestes imperméables légères

BernardF a écrit : …J'ai agis sur le haut et le bas de mes sacs à dos… de faire un trek de quelques jours à l'assaut du Triglav, à partir du lac de Bohinj…
J'ai fait les sacs-à-dos il y a quelques semaines, mais je n'ai pas encore pris le temps de tester vraiment sous la pluie pendant plusieurs heures. En tout cas quelle puanteur de wite-spirit ! Il a fallu une bonne semaine avant que l'odeur ne parte. Rien que d'y penser, j'en ai encore mal de tête.
Par contre, j'ai siliconé la tente et la carte hier, l'odeur était bien moindre. Je ne sais pas pourquoi, le même silicone, le même white spirit pourtant. J'ai enduit la carte des deux côtés, mais je trouve que le revêtement est assez "poisseux", c'est normal ?
En gros, résultats de mes test sur le terrain. Le siliconage du haut de mon sac-à-dos ne s'est pas avaré efficace du tout après seulement une heure de pluie et vent au pied du Triglav. Peut-être dois-je insister sur le nombre de couches ? Peut-être le tissu est-il à mailles trop grandes ?
Je n'ai pas eu l'occasion de tester la carte topographique car j'en ai utiliser une autre dans mon trek qui, elle, par contre a dégusté après même pas une demi-heure de mise sous condition humide, nul doute que siliconnée elle aurait tenu beaucoup plus longtemps.
Par contre, pour une ancienne veste gore-tex ainsi siliconnée, j'ai pu tester le week-end passé sa déperlance renouvelée qui a tenu pas moins de une heure sous la pluie, pas mal, je suis content.
Adonc, un siliconage semble avoir des résultats variables, suivant l'objet traité… A suivre…

….au pied du Triglav ? Raconte nous ta rando à l'occasion . C'est un coin
magnifique et les slovènes sont hyper sympas Ca fait un bail que je n'y suis
pas retrourné et j'aimerais savoir si c'est resté ce que c'est dans mes souvenirs :
un très bon plan de vacances cools et pas chères pour qui aime la nature intacte ! .

Robert a écrit :
….au pied du Triglav ? Raconte nous ta rando à l'occasion . C'est un coin
magnifique et les slovènes sont hyper sympas Ca fait un bail que je n'y suis
pas retrourné et j'aimerais savoir si c'est resté ce que c'est dans mes souvenirs :
un très bon plan de vacances cools et pas chères pour qui aime la nature intacte ! .
Pas seulement au pied, au sommet aussi ! Trop brumeux pour le panorama sur les Alpes juliennes, mais bon, on peux pas tout avoir, vu le temps qui devenait pourri (deux jours avant il y avait eu de la neige et deux jours après aussi), je suis content d'y être arrivé, j'étais pas équipé pour la neige.
Les slovènes ? Marrants ceux-là, par ce mauvais temps (pluie et vent), quand nous les touristes montagnards "occidentaux", bardés de gore-tex et autres vestes high-tec on grelotait dans le refuge (non-chauffé, chauffage en panne), eux, ils arrivent au refuge avec des vestes genre KW ou Carrouf, trempés mais souriants, et pas des tout jeunes en plus ! Imprudents ou insouciants ? Optimistes peu être ou alors manque de moyens ?
Jacques a écrit :
Le premier risque commercial pour ces éventuels artisans, est celui des efflorescences blanches qui surviennent parfois. Il me semble que c'est surtout si le mastic en cartouche était acétique. Ça ne me dérange guère si le vêtement d'origine était camouflé : le motif est juste un peu plus compliqué, ce qui ne dérange guère la faune. Mais cela indigne ma compagne, si je lui étanche ainsi les coutures de la pélerine rouge que je lui ai achetée.

Et là si, voilà les déplorables efflorescences blanches ! Non je n'avais pas bouchonné… Je me sentais pressé et affamé, j'ai bâclé. …
Réglé.
Ce n'étaient pas des efflorescences, ni des chromatographies. C'était que du gel de silicone était resté en surface du tissu. Le solvant s'évaporant, il laissait derrière lui une éponge de silicone, poreuse : ce gel était désolvanté.
Un peu de physique, niveau Sciences et Vie ou Sciences et Avenir, pas plus :
Le blanc vient d'un milieu dispersé, à indices de réfraction très différents, tel que la neige, ou une poudre, telle que la farine de blé par exemple, et des multiples réflexions et diffractions de la lumière. Il faut que les grains et la porosité soient de taille comparable ou modérément supérieure à la longueur d'onde typique de la lumière visible, qui est environ d'un demi micromètre.
J'ai toujours eu des difficultés à tout bien mélanger en dissolution. Comme la vie est brève, je commençais à appliquer le dessus de mon pot, de bonne fluidité, tandis que le fond contenait encore des grumeaux, puis je rajoutais du white-spirit et je remélangeais à mesure que je consommais du sirop fluide. En fait, il eût fallu préparer moins de sauce d'un coup, et consacrer plus de temps à touiller ce [censuré] de mélange récalcitrant.
Remède :
D'abord être certain qu'un en a fini avec les couches de siliconage. Car le remède que je vais proposer est incompatible avec tout siliconage ultérieur.
Ensuite avoir laissé durcir à l'air au moins deux jours, durée à moduler peut-être selon la température et la ventilation.
Quand visiblement c'est réticulé et que c'est arrivé au bout de la réticulation, appliquer de la graisse à chaussures ou à selle, enfin à cuir épais, sur les zones blanchies. Cela s'applique à la brosse à dents, cela sent, mais il n'y a pas de solvant.
C'est tout.
Cela pénètre le gel poreux, et le tout devient transparent, pratiquement invisible. Les indices de réfraction du silicone et de ses pores remplis de graisse, sont très proches ; les dioptres deviennent invisibles dans ce milieu optiquement assez homogène.
L'hydrophobie est rétablie. La sensibilité au feu est localement aggravée ou rétablie.
L'odeur est durable, assez pour prévenir la faune de notre approche, au moins sous le vent à nous. Mais nous émettons tant d'autres odeurs dont nous sommes inconscients, et que eux perçoivent fort bien…

Enseignements à en tirer :
On peut en déduire la taille des pores de ce gel, donc la taille des micelles et leur pré-organisation en châteaux de cartes, comme une argile floculée. Cela implique des micelles de grande taille, de l'ordre de 1000 à 5000 Å, ce qui est énorme et m'étonne beaucoup. Ou alors ce seraient déjà des micelles de micelles ?
Le polyamide se file à partir de 110 Å de grand axe de micelle, mais il faut au moins 400 Å de grand axe pour faire quelque chose avec du polyétyylène ou polypropylène. Dans le polyamide, la résistance au cisaillement et en traction vient des liaisons hydrogène entre micelles, alors qu'un polyoléfine doit se contenter de liaisons de Van der Waals, considérablement plus faibles. Il faut donc des molécules (pelottonées chacune en micelle à la polymérisation en solvant) plus grandes, plus déformables, plus flasques pour avoir de meilleures surfaces de contact entre micelles.
Cela pourrait impliquer que notre choix imposé par la structure du commerce, de ces mastics en tube ou en cartouche, n'est pas optimal, et que des préparations de poids moléculaire plus bas, feraient mieux notre affaire en traitement de textiles : meilleure pénétration, moindre gélification en masse. Tiens, justement ce qu'ils proposent en aérosols, mais sacrément coûteux.

Graisse utilisée ?
Celle que j'ai en stock maintenant est la graisse à cuirs de St*rwax, trouvée à C*sto. Composition annoncée : lanoline et équivalent d'huile de pied de boeuf. Pas encore essayé d'autres sur ce problème.
Du cirage incolore pour chaussures, imperméabilisant, devrait convenir aussi.
Jacques a écrit :
Celle que j'ai en stock maintenant est la graisse à cuirs de Starwax, trouvée à C*sto. Composition annoncée : lanoline et équivalent d'huile de pied de boeuf. Pas encore essayé d'autres sur ce problème.
Du cirage incolore pour chaussures, imperméabilisant, devrait convenir aussi.

J'ai honte d'avoir donné la référence C*sto, quand la même quantité est trois fois moins chère, voire neuf fois moins chère par 500 ml, chez D4, au rayon équitation, marque Foug*nz*.

Pas de retour d'expérience encore. Un peu de patience.

Le cirage incolore testé (Gregor Chemie) est modérément efficace sur les taches de gel désolvanté.

Bonjour,
Je ne pense pas apporter beaucoup d'infos concretes, mais il est trés difficile de dissoudre du silicone. Le White spirite n'est pas le meilleur solvant à utiliser. Il est claire que souvent on a du mal à retourner à l'aspect "sec" du silicone, il a tendance à rester "mou". De plus si je me rappel mes multiples essais pour un même solvant et des proportions semblable la marque du silicone utilisé influence beaucoup. Il me semble (parceque je disposait facilement à l'époquode de solvant ) que l'éther donnait les meilleurs résultats. De plus si l'on souhaite faire plusieurs enduction souvent, les différentes couches "tiennent" mals entres elles.

Mais j'ai trouvé un produit d'étanchéification en tube (comparable au silicone)en grande surface (type bricomarché) MAIS DONT LE SOLVANT EST L'EAU. La résistance mécanique aprés évaporation est un peu moins bonne que dans le cas du silicone mais il n'y à plus d'effet "mou".
Je ne me rappel plus la référence exacte, mais si vous êtes interressé je peux retrouver la référence.

Je ne comprends pas du tout, du tout, du tout.
On ne doit pas avoir les mêmes sens des mots.

En ce moment, je termine une cartouche de silicone acétique de marque C*sto, dit pour salles de bains. Cette cartouche a été très pénible, la dissolution gélifiait rapidement en pot.
Et bonjour les taches de gel désolvanté…
J'avais eu de bien meilleurs résultats avec les cartouches premier prix, à 3 roros.

Là les ennuis se sont nettement réduits quand j'ai utilisé comme premier solvant le pétrole de chauffage. J'ai obtenu plus facilement la dissolution complète des grumeaux. Puis j'ai continué de diluer au white.

En revanche, il est clair que le temps de séchage est triplé : le pétrole est bien moins volatil.

Je conserve mes pinceaux dans ce pétrole de chauffage, justement parce qu'il est moins volatil.

Autre bonne nouvelle :
Des traces blanches de gel de silicone désolvanté ne s'aggravent pas, au contraire peuvent être corrigées, à l'application de dissolution de silicone suivante.

Ici la couche suivante et correctrice était basée sur le premier prix de chez C*sto, en cartouche en dominante orange, dit mastic universel (sans fongicide), à 3,10 roros les 310 ml.

OK sur l'anorak hivernal dont je parlais le 18 juillet.

Correction bien réussie sur une Combat Jacket britannique, en camouflage DPM, qui était très mal traitée à l'application précédente. Ces vestes ont l'avantage des six poches vastes et pratiques. Les zips sont hyper-costauds. A condition d'avoir cousu un capuchon au bout du col relevable, nous qui ne portons pas de casque en forêt, voilà de remarquables vestes de coureur des bois.

Siliconer les bas de pantalons jusqu'aux cuisses, en copiant sur la disposition des pantalons de chasse pour temps mouillé, est aussi une solution efficace.
Cela permet de se passer d'un pantalon spécifique pour le ski, réemployer à skis un pantalon de chasse pour temps secs, ou un increvable BDU.
Evidemment, pour le ski, il est en outre préférable de coudre un zip pour refermer les poches de hanches, avant de les remplir de neige en choyant (Il y a des cours du choir&#8230smile.

BernardF a écrit :
En gros, résultats de mes test sur le terrain. Le siliconage du haut de mon sac-à-dos ne s'est pas avéré efficace du tout après seulement une heure de pluie et vent au pied du Triglav. Peut-être dois-je insister sur le nombre de couches ? Peut-être le tissu est-il à mailles trop grandes ?
Affirmatif.
Ces tissus genre Cordura ont en effet du gros fil, une large maille de tissage. Deux couches sont un minimum, et trois me semblent correctes, pour garantir que le nylon extérieur ne sera pas atteint et gavé par l'eau. Il y a bien une enduction interne, mais généralement imparfaite. Le rôle du siliconage externe est d'arrêter l'eau avant.

Je confirme que sur les tissus fins, genre poncho de chasse premier prix de chez D4, et hybrides poncho-pélerine - à manches mais ouvrants en ponchos, donc aérés - de chez Lidl, le silicone donne une amélioration spectaculaire et très précieuse.
Idem de cet anorak montagnard D4 au capuchon fort bien coupé et accessoirisé, qui m'avait peu servi, dont une fois sous la neige du soir : long et très léger à 1080 g pour son service et sa thermicité, je redoutais de l'utiliser au dessus de zéro, de peur que son tissu mince ne soit pas assez imper. Peur évanouie à présent : le micro-blindage silicone est sensible au toucher exercé, et j'en connais bien l'efficacité.

Même les K-Way tout légers trop légers qui traînaient dans un fond d'armoire deviennent fiables et utilisables comme on avait longtemps rêvé qu'ils le soient, avec un siliconage avare, avec bouchonnage immédiat de l'application fraîche par un pan sec ou vierge encore.

Les cuissards de chasse aussi, deviennent très endurants à la pluie prolongée. Ils demeurent non mouillés, l'eau roule.

Je confirme aussi, au moins sur le papier, que des silicones sont vendus comme joints coupe-feu pour l'industrie. Donc ayez moins peur désormais pour vos vêtements impers et siliconés, devant votre réchaud ou votre petit poêle à bois.
Jacques a écrit :
Siliconer les bas de pantalons jusqu'aux cuisses, en copiant sur la disposition des pantalons de chasse pour temps mouillé, est aussi une solution efficace.
Cela permet de se passer d'un pantalon spécifique pour le ski, réemployer à skis un pantalon de chasse pour temps secs, ou un increvable BDU.
Durant le redoux et dans l'Allier, 450 m d'altitude, simple sortie dans les bois, chemins boueux, boue sur le pantalon.
Un brossage à l'eau, et la boue est partie, sans que jamais la doublure soit humectée : le siliconage du bas de pantalon a complètement rempli son office.
BernardF a écrit :
Par contre, pour une ancienne veste Gore-Tex ainsi siliconée, j'ai pu tester le week-end passé sa déperlance renouvelée qui a tenu pas moins de une heure sous la pluie, pas mal, je suis content.
Donc, un siliconage semble avoir des résultats variables, suivant l'objet traité… A suivre…
De nouveaux résultats d'expérience :
Il se confirme que le siliconage du cuir retourné façon Suède, ça marche, toujours à l'incolore translucide.
Les colorants à bois en solution alcoolique de marque 3V3 et Casto, sont compatibles avec beaucoup de textiles, en tout cas sur les mélanges coton-polyester dont on fait les pantalons BDU et les gilets de pêche à 14 poches.
Eviter les teintures "Colours", qui sont en solution aqueuse.
Les teintures alcooliques citées ci-dessus sont aussi compatibles avec les cuirs façon Suède, mais l'application est sujette à raccords foireux et auréoles de chromatographie si l'on ne traite pas toute la pièce d'un coup, sans reprises.
Dernière surprise : elles sont compatibles en mélange dans le silicone, on gagne même bien du temps de mélange en commençant par touiller le silicone avec la tite giclée de teinture, avant l'ajout de kérosène puis de white-spirit.
Ce qui a réglé le problème des irrégularités de teintes décrites plus haut.

Le vêtement ainsi traité est un blouson de cuir suédé, d'un jaune flashant, qui prenait trop facilement les taches et l'usure. Pour que les gosses de riches fissent valoir aux filles qu'ils sont un bon parti, c'était sûrement bon, et sa fragilité était aussi un joli certificat de désoeuvrement. Mes besoins sont bien différents…

La miscibilité directe de ces teintures alcooliques avec le silicone implique qu'on peut les utiliser, avec peu d'auréoles de chromatographie cette fois, en taches de camouflage sur un vêtement ou un sac à dos trop peu discret, avant traitement complet au silicone incolore.

Après les manips précédentes, il était logique d'enchaîner sur l'essai de la dissolution d'un mastic silicone sanitaire acétique dans de l'alcool à brûler. Hé bien ça marche aussi. Imprégné ainsi les cuirs d'une paire de rangers spécialisées désert, et l'extérieur d'une casquette chaude.
Le chantier est plus rapide, le séchage est plus rapide, au moins dans un premier temps, la pénétration pourrait être moindre. Quant au nettoyage des pinceaux ? En rester sur les pinceaux à grosses soies en nylon blanc, la récupération des pinceaux ordinaires à soies souples et minces est affreuse.

BernardF a écrit :
En gros, résultats de mes test sur le terrain. Le siliconage du haut de mon sac-à-dos ne s'est pas avéré efficace du tout après seulement une heure de pluie et vent au pied du Triglav. Peut-être dois-je insister sur le nombre de couches ? Peut-être le tissu est-il à mailles trop grandes ?
Je n'ai pas eu l'occasion de tester la carte topographique car j'en ai utilisé une autre dans mon trek qui, elle, par contre a dégusté après même pas une demi-heure de mise sous condition humide, nul doute que siliconée elle aurait tenu beaucoup plus longtemps.
Par contre, pour une ancienne veste Gore-Tex ainsi siliconée, j'ai pu tester le week-end passé sa déperlance renouvelée qui a tenu pas moins de une heure sous la pluie, pas mal, je suis content.
Ainsi, un siliconage semble avoir des résultats variables, suivant l'objet traité… A suivre…
La pesée sur le Vaude Biwak II transformé en vrai sac-à-vent, a mis en évidence un poids de couche de silicone de l'ordre de 2 g /m² sur les tissus fins.

L'expérience de 5 jours avec bivouacs dans le Vercors a confirmé l'excellente tenue à l'eau et la neige mouillée de tous les tissus que j'ai traités, que ce soit le tipi Appy Trails modifié, ou l'anorak pôlaire déjà photographié à propos des problèmes du photographe
, ou le bivy britannique en trilaminé Gore-Tex.
Le siliconage extérieur d'un Gore-Tex d'occasion, garantit qu'à l'extérieur, le tissu n'est jamais mouillé, et la membrane demeure largement perméable à la vapeur, ce qui n'arriverait pas si sa face externe était mouillée.
Et en surplus, les Gore-Tex d'occasion sont si bon marché…

A contrario, les deux tissus, considérés pourtant par les commerciaux comme impers d'origine, et que je n'avais pas pris le temps de siliconer, ont été défaillants à sanctuariser leur contenu sous la neige : la bâche de la pulka de marque Fjellpulken, et le sac Karrimor modèle ancien Vallot. Tous deux sont des tissus épais à large fil, et exigeront deux couches, soit de l'ordre de 4 à 5 g/m².

De toutes façons, j'avais négligé de subdiviser la protection par sacs étanches dans la pulka, et c'est une erreur à ne pas reproduire.

En dernière minute, j'avais choisi le Vallot pour son faible poids, environ 1700 g avec un matelas de mousse roulé à l'intérieur pour remplacer l'armature inexistante, à la place d'un sac plus grand et plus porteur, déjà siliconé deux couches. C'est un choix discutable, sans être nécessairement une erreur (il y en a eu d'autres, indiscutables, elles).