Même conditions aujourd'hui au départ de Prabouré
Pour roder mon nouvel équipement de SRN. Il va super bien, on peut bien faire glisser, comme en classique sans le double appui, Un équipement pour fondeurs. Merci Régis pour les conseils.
J'y retourne demain, sans doute au départ des Supeyres, pour un programme SRN et éventuellement kite selon le vent.
jacou4242Est-ce possible de l'éviter avec des skis comme les S-Bound 112 qui n'ont plus rien du ski de fond + normes 75 ?
…comme en classique sans le double appui…
A ma décharge, ça commence à faire un bail que je ne suis plus monté sur des skis de fond !
Mais c'est c*iant ce bruit de claquettes :ermm:
Mais non mon bon N_75, même avec les s-bound ça peut faire, à condition d'avoir assez de glisse pour bien transférer le poids du corps, donc la frite, car il faut les "pousser" les bougres, vu leur largeur …:ermm: La descente à gauche de Chougoirand est bonne, mis à part des taupinières, mais y faut bien les laisser vivre !
J'ai chargé ma voiture.
Avec du skate, mon badge Massif Central acheté sur les Crêtes du forez, de la rando, la pulka, 2 voiles de kite et mon repas de midi.
Direction les Supyères. J'ai préféré chainer car la route après St Anthème était bien nordique.
Il faisait grand beau et des conditions de débutants pour le kite. Donc kite.
J'ai tout mis dans la pulka et j'ai assuré en allant sur mon spot préféré le plateau des Ego a 1km de la voiture car vent régulier, plat, de l'herbe rase pas de bruyère, pas d'obstacle, de la place et des piquet pour accrocher la barre avant le décollage de l'aile pour la poser.
J'ai commencé avec ma voile de 8m2 et mon nouvel équipement de ski de rando nordique. Vent assez soutenu,voile trimée à fond et voile plutôt haute. Ça allait assez vite, je pouvais faire du cap et le tout sans me faire peur.
Puis pause repas. Bien empaqueté, ma gamelle était encore chaude du coup de micro onde une heure plus tôt. C’était super bon.
J'y suis retourné avec la 8m.
Puis le vent a moli.
J'ai mis la 12m
Fin de session a 15h, je commençais a en avoir plein les cuisses et il commençait a y avoir du monde a mon gout. J'ai compté 11 voiles en l'air en une seule fois.
Supers sessions, presque 3h. J'ai fait les bons choix.
Conditions extra, neige pas transformée. Des promeneurs en raquettes, pas de SRN. Bonne visibilité, comme d'hab : sur les Alpes, le Sancy, le Puy de Dome, Le Mezenc, enfin la totale.
Je suis vraiment satisfait de mon nouvel équipement conseillé par Régis : Fischer 105 en 1.80m et Crispi Svartisen en nnbc. C'est vraiment un équipement pour un fondeur. Ça a l'air de tourner facile, ça glisse, ça retient, c'est léger, j'ai pas mal aux pieds, et en plus ça kite facile !
Pour le bruit de claquette, c'est surtout une histoire de technique, il faut a titre d'exercice, se forcer a poser le pieds un peu en avant du ski qui vient de finir de glisser.
Je vais être prêt a sortir avec vous maintenant que mon équipement est rodé, Mais j'ai bien peur que ça fonde tout pour quelque temps.
Bon début d'année, et bonne santé pour faire ce qu'il vous fait plaisir;
Un ski qui tape sur la neige ça fait un bruit de claquette. Quand les skis reposent dans le garage, ils ne claquettent pas. Dois je en déduire qu'il y a un lien entre le bruit de claquette et le skieur qui emploie le ski?
Peut on skier autrement qu'en double appui, avec des skis aussi larges?
Pour sortir du double appui en ski de fond, il existe un éducatif intéressant, qui consiste à skier en écartant les skis sur une largeur trois à quatre fois supérieure à l'écartement d'un rail de classique imprimé par une machine.
Peut on raisonnablement penser qu'en SRN un skieur peut enchaîner des kilomètres sur un support non damé, qui défonce, sans faire de double appui?
Là je crois qu'on entre dans le domaine du rêve. Tous les athlètes de haut niveau que j'ai vu passer en formation dans le BE ski, se permettaient en SRN, de skier en double appui, dès lors qu'ils ne cherchaient pas à accélérer pour poser les copains.
Peut on skier en double appui sans faire un show de claquette?
La réponse est oui, 3 fois oui?
Si ton problème a une solution, c'est que ce n'était pas un problème, si tu ne trouves pas les solutions, c'est qu'il est sans doute préférable de s'en accommoder.
Le champ des possibles en SRN est tellement vaste, que ça participe pleinement à mon goût de me lever chaque matin d'hiver avec le plaisir d'imaginer une nouvelle journée de plaisir dans l'univers de la glisse.
Bonne année à vous, Foréziens d'Auvergne et Foréziens du Forez, ainsi qu'à tous les autres !
Et merci pour les conseils les fondus du fond ! conseils qui confirment mes amorces de réponse, notamment forcer le transfert du buste, et que le ski de fond c'est autrement plus simple avec un matériel adapté et que c'est encore plus facile en ayant la frite avec soi, plutôt que d'avoir laissé le peu en ma possession à brasser une partie de l'après-midi dans la bruyère
Ca, c'était pour hier entre le col de la loge et les 2 Boules où si le GR est bon à la montée, il est quand même limite au retour à cause des nez de cailloux qui pointent.
Et cet après-midi, entre le Béal et les 2 boules, dans quelques petites pentes abritées, j'ai trouvé un peu de bonne poudre pour donner à manger à mes spatules
Le ski de fond et la technique qui en découle constituent une spécialisation du ski de rando nordique, adaptée à des envies de performances chronométrées. Avant les compétitions de ski de fond les skieurs faisaient du ski de rando nordique à vocation utilitaire: pour la chasse, la guerre, où les explorations comme sur cette photo de Roald Amundsen. Personnellement, je ne crois pas que ces dignes ancêtres du SRN étaient trop crétins pour ne pas avoir songé aux qualités de glisse d'un ski plus fin. Les skis de la photo, sont pour moi, le fruit de 5000 ans d'histoire de la glisse, à cultiver un concept matériel radicalement simple et efficace pour parcourir du terrain vallonné en hiver. C'est suffisamment large pour être stable, pour virer facilement, c'est déjà parabolique, avec une surépaisseur sous le pied qui accroîssent le moment de force dans les prises d'angles et l'efficacité dans les conduites de courbes, accessoirement ça donne de la souplesse en spatule et en talon.
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Sinon le ski de fond c'est autre chose. La technique en ski de fond ça me plait, c'est monstrueusement riche et complexe à intégrer, après plus de 20 ans de réflexion technique quasi quotidienne en hiver pour peaufiner ma technique de classiqueur, j'estime que j'ai encore bien des subtilités à travailler. Mais s'il y a bien des points qui sont comparables entre le ski de fond et le SRN, cela demeure deux activités aussi distinctes à mes yeux que le foot et le rugby.
En revanche je ne crois pas que ce soit tellement plus simple en ski de fond, qu'en SRN: de ressentir ce qu'est un bon transfert d'appui. J'aurais même assez facilement tendance à penser que c'est l'inverse. Le ski de fond donne une illusion de rendement très facile à celui qui a su dépasser les problèmes d'équilibres liés à l'emploi d'un ski très fin. Mais une illusion de rendement ça reste une illusion. Ce qui distingue bon fondeur efficace, d'un fondeur plus commun, ce n'est pas une histoire de rendement propulsif. C'est surtout des gains d'énergies liés à une bonne coordination, à des subtilités d’adaptations de la gestuelle à la vitesse et aux changements de terrain, à des gains d'énergie potentielle qui émanent de placements en déséquilibre avant. Pour ce qui me concerne, j'étais vraiment pas doué, mais ça m'a pris plus de 10 ans de ski de fond en compétition pour commencer à entrevoir l'essentiel de ces subtilités. Très franchement, je préfère nettement faire partager de beaux plaisirs simples en balade en SRN, plutôt que de gagner ma vie, en faisant croire à des vacanciers, que les subtilités du ski de fond sont accessibles, à qui n'a qu'une semaine de vacances par ans pour tenter de comprendre les détails qui permettent d’accéder à une glisse sur piste facile, rapide et légère.
Bonne balade hier entre le béal et PSH en passant a l'est puis à l'ouest pour profiter de quelques pentes plus dure avec des accumulations.
Retour fin d'am avec une remontée de chamboite dans la molle après un réveillons et 3h30 de balade çà nous à bien calmé.
Magnifique météo avec vent d'est soutenu en haut et un couché de soleil pour les dernières descentes.
On aimerais que les prochaine précipitation complète la couche pour la suite.
Bonne année de ski.
BenboisMadame De Saint Just aurait-elle contacté le virus du SRN ? :D
Belle balade hier aussi avec ma compagne
Et encore une au départ des Pradeaux sous un soleil qui n'allait pas tarder à se faire absorber par les nuages.
Direction la piste du réservoir puis une plongée sur le ruisseau sous les Mortes, un passage aux Jasseries et au rocher Y. Il ne faisait vraiment pas froid (2° à Ambert à 500m et 6° aux Pradeaux à 1200m) mis à part un bon vent d'ouest qui donnait quand on le prenait, un air de "fraîcheur". Les arbres avaient pas mal déchargé leur fardeau de neige. Dans les traces de raquettes, la neige était bonne à skier mais du style savonneuse en cours de transformation. En dehors, la trace était quand même assez facile, la neige plus dense n'enfonçant pas trop.
Une belle vue sur les Alpes, le Pilat, Le Mézenc, le Cantal et le Sancy, mais toutes ces montagnes avaient revêtu leurs habits de "pleureuses", on les voyait très près avec ces teintes de redoux.
Puis je suis passé à la Tuile pour tenter la descente du vallon sur la gauche du bois de Naufrange, jusqu'à la route de Prabouré et là …:'(
Mais c'est vrai qu'en ski de rando, il est impossible de ne pas faire de double-appui, compte tenu du contexte très particulier. En ce qui me concerne, mis à part quand je trouve des traces de raquettes ou de ski et que ça ne monte pas trop raide, j'arrive à skier "relativement", sinon, je suis en double-appui.
Notre sage Sancho a résumé toute la subtilité du transfert et du classique. Mais il faut avouer que malheureusement, les machines modernes ont "gommé" le micro relief très joueur, qui demandait plus de finesse technique au profit de pistes rabotées où le physique s'exprime plus. Et ce micro relief, on le retrouve dans la rando nordique, c'est ce qui en fait comme le dit Sancho, le "ski des origines".
forezUne personne qui débute fait déjà du ski, et son double appui est souvent important. Ce qui conditionne le double appui, c'est l'équilibre. Un skieur qui ne peut qu’enchaîner des étirements en gardant du poids sous les deux skis a des problèmes d'équilibre qui ne lui facilite pas l'accès aux plaisirs de la glisse.
Je trouve qu'il y a une différence entre une personne qui fait réellement du double-appui car elle ne sait pas skier et une qui en fait car elle ne va pas vite mais dont on sent quand même un léger transfert naturel
Un skieur plus aguerri, qui est en double appui, par rapport à une question de vitesse, et de support qui n'est pas damé: a une démarche plus souple et décontracté sous ses skis, qui sent déjà un peu plus les plaisirs de la glisse.
Un skieur qui force son transfert, est un skieur qui force. Il force parfois, parce qu'il ne sait pas faire autrement, parfois juste car il a envie de forcer, parfois parce qu'il croit vraiment que c'est en forçant qu'on devient "forceron"
Un bon transfert ne se force pas plus avec des skis larges qu'avec des skis fins. Un bon transfert n'est pas la résultante d'une phase de propulsion optimale. Un bon transfert s'obtient par du relâchement et de la décontraction dans des phases de retour de bras et de jambe. Si on a forcé pour transférer, c'est sans doute qu'on a un peu raté son transfert.
Vous êtes cons les gaziers de causer technique pointue de la sorte ! :ermm:
Sinon, j'y retournais cet après-midi !
La photo en travers c'est bon pour les vertèbres, ça fait bouger !
Je suis retombé sur la piste qui mène à la jasserie de la Jacine proprement dite et qui appartient aux Bergers. Puis j'ai enfilé le bois dessous, car à découvert il n'y avait plus rien. Un petit tour dedans et je suis remonté sur la piste (elle a une bonne pente avant de rejoindre celle venant du vallon et du Mt Chouvet, donc pour en profiter) pour redescendre sur Chansert.
Dans mes traces la neige avait sérieusement grisée, mais la descente jusqu'au col était acceptable vu les conditions.
Voilà donc l'état des lieux, mais ça a tellement soufflé en haut que l'épaisseur de neige était très faible et du coup il en reste plus sur le bas et dans les arbres. Pour les amateurs de ski sur piste en vire vire (j'en ai fait parti il y a quelques bonnes années) il restera les Supeyres le long des barrières à neige et de la plantation. Ou sinon la raquette dans les trous qui ont conservé un peu de neige. Pour les autres il faut attendre la prochaine chute.
Sinon, les webcam parlent d'elles-mêmes pour Chalmazel haut et bas:ermm:
Météo France sur Prabouré, annonce de la neige à 700 m pour vendredi matin puis dans les prévisions soleil/pluie éparse pour le week-end … Donc pas folichon …
Un bien triste tableau que tu nous dresses là, mon bon Forez
Ce matin, même départ que "forez", de "la grosse font", au dessus de Job, mais en raquettes (heureusement) puis, avant le dernier lacet de la route sous le col de Chansert, (au ruisseau de Paillat) j'ai "piqué" à droite dans le bois et, entre des rochers très apparents, vu le faible enneigement, débouché en vue de l'air d'envol parapente du Mt Chouvé, (après avoir fait un peu de raquette-bruyère).
Le retour, assez bien enneigé, ( en évitant de démolir les traces de ski de Forez) après avoir passé le, "de plus en plus GRAND", mais" de plus en plus BEAU gué" sur le ruisseau, puis pris le petit bout de chemin qui coupe le dernier virage avant Chansert (bien connu de certains par exemple "N75" sauf erreur).
Conclusion:
Heureux d'avoir déconseillé à Jacou de venir de loin pour faire du ski de rando, car la neige faible, et de plus, gelée, aurait été "galère" (pour moi en tous cas) mais en raquettes, pas trop exigeant, j'ai fait une courte (2h) mais bonne sortie avec un retour (habituel quand la neige est "portante") en raquettes-footing (en descente ça se fait bien).
La neige est revenue parcimonieusement …
forezA l'automne j'avais vu passer des 2 roues vers le Rocher Y et les Jasseries des Mortes, et une colonne de quads sur le chemin qui longent le barrage à l'ouest, et aux bords du barrage !
La seule mauvaise surprise a été des 4X4 qui étaient passés sur les chemins vers le barrage, donc dans une terre humide, par endroit, ça a bien abîmé. On s'en doutait un peu en voyant une dizaine de ces spécimens devant l'auberge des Pradeaux. Le réconfort après l'effort certainement. C'est comme ça, c'est la liberté "d'expression".smile
Dans le nord du massif c'est encore pire ! on en vient même de Belgique !
Les Monts du Forez sont en passe de devenir une terre de refuge pour cette population ! Une aubaine pour les municipalités qui voient en elle un moyen de développement, les randonneurs étant trop silencieux et ne laissant aucunes traces sur leur passage !
:angry:
Sortie ski rando des Supeyres hier après-midi. 15 cm de neige mesurés dans le pré derrière la croix. Très beau temps, vue sur les montagnes d’Auvergne à l’ouest, et le mont Blanc à l’est, avec sa cour de sommets. Peu de vent mais une bonne quinzaine de snowkiters, quelques marcheurs et raquettistes. La route d’accès était glacée sur les 6 derniers kilomètres.
Je suis parti par le petit chemin à droite de la piste partant sur Pierre-sur-Haute. Ce chemin est très beau, dans la hêtraie de bordure. Mais comme il descend un peu trop j’ai repris sur la gauche un autre chemin qui m’a amené au goulet des 3 Fontaines du saut du goulet ou grand Goulet (là où la route goudronnée s’arrête). Ensuite la piste jusqu’au suc de Pégrol.
Là, il faut faire attention, car suivant son orientation, la piste est soit « blindée » de neige, soit aux cailloux. Nord/sud extra, est/ouest délicat. C’était de la navigation « côtière », entre rester sur la neige mais sans trop pour ne pas en brasser de trop et flirter avec les pierres. Sinon, une neige au top, bien plus glissante que celle de la semaine du Nouvel an. J’ai pu « arracher » quelques foulée alternative de compétition, mais bien vite la largeur et le poids des skis m’ont rappelé à l’ordre …
Puis, bien avant le plan Chevalat, j’ai tourné à droite pour rejoindre les sources de l’Ance. Un peu galère, dans peu d’herbe et des touffes de bruyère très affectueuses pour les spatules, qui m’ont offert la première gamelle … en alternatif …
Mais le soleil dans toute sa mansuétude m’a offert un … arc-en-ciel incroyable. Je l’ai vu pendant une dizaine de minutes. Il entourait le soleil juste au-dessus de la butte derrière les jasseries de Pégrol. Il se distinguait très bien de part et d’autre du soleil au « départ » de la neige. Je ne me rappelle pas avoir déjà vu ça ??? Une explication parmi les initiés aux « systèmes » météo ???
Puis le passage des divers bras des sources, où déjà, la neige était transformé en gobelets sur une vingtaine de cm ; du vrai sucre en poudre. Ensuite la jasserie isolée de Pégrol, la plus au nord/est et la seule située entre les deux bras principaux. Enfin les autres, alignées sur leur courbe de niveau à 1370/1380, puis la piste, le carrefour du petit Goulet et les Supeyres par le plateau des Egaux où j’ai doublé des snowkites qui revenaient en marchant, en tirant leur snow derrière eux. Heureusement que la neige n’était pas trop profonde … Un autre était en ski de rando alpine avec bâtons télescopiques donc autonome même sans la voile. L’an dernier il y en a un qui a passé la nuit dehors, plié dans sa voile. Le soleil commençait à disparaître, happé par un halo de nuages bas sur le Sancy.
Très belle sortie, même si l’enneigement est encore plus juste que la semaine du Nouvel an et qu’une simple demi-journée de redoux …
Malheureusement les prévisions de vendredi ont été revues à la baisse en terme de cm de neige « estimés ». Espérons que la nature s’amusera à tromper les prévisionnistes … L’Ardèche est en vigilance orange, ça devrait remonter jusqu’au Mézenc et aux Estables, mais pour nous, j’ai peur que ce ne soit que des miettes, à moins que les retours d’est des Alpes veuillent jouer leur « rôle ».
Sinon, je prends la météo sur Prabouré à 1260 m
http://www.meteofrance.com/previsions-meteo-montagne/praboure-st-antheme/63660
Il y a sur Chalmazel mais elle est à 1100 m.
http://www.meteofrance.com/previsions-meteo-montagne/chalmazel/42920
Après de nombreuses sortie à pied, Hier sortie pour moi aussi sur la neige en raquette depuis le col de la loge en direction du sud la montagnette, sagne bourrue, la lite et la pigne. Plus on montais plus la neige était bonne et légère, enfin je me comprend la couche reste modeste mais on peu se faire plaisir. Les pistes de fond du béal étaient tracés et ouverte, la loge tracé mais fermés car un peu de manque sur le bas.
Mercredi je sors en SRN depuis le béal pour préparer une sortie raquette du jeudi avec des lycéens. Et j'espère comme vous quelques Cm de plus pour commencer à skier sérieusement.
Pour la météo je regarde aussi: https://www.meteoblue.com/fr/france/meteo-col-du-beal
Sortie du col du Béal cette après-midi, sous un ciel gris où le soleil a tenté une percée vite avortée. Par contre le Cantal, le Sancy et le Puy-de-Dôme émergeaient de la brume qui tenait à mi-montagne, dans une jolie bande de ciel d'un bleu pastel. Ca a durée tout l'après-midi, Jacou aurait été heureux avec son appareil.
Une dizaine de skieurs sur les pistes de fond, essentiellement en skate et deux personnes en raquettes.
Sinon la neige était moins soufflée, plus uniforme dans les pistes que du côté des Supeyres et du suc de Pégrol. Sans doute l'effet d'un relief un peu plus accentué qui limite un peu le vent. J'en ai mesuré comme aux Supeyres, 15 cm dans le pré derrière l'auberge. Quant au vent il était plutôt au sud-sud-ouest mais frais (-3°).
Je suis parti par Roche-Courbe, histoire de tester la descente derrière, direction ouest, mais pas top dans la bruyère. Heureusement il y a les sentiers raquettes et là ça filait. Puis j'ai exploré les jasseries du Béal avant de remonter et de franchir la route venant du Brugeron à celle des Clissades. Ensuite, les jasseries du Merle avant de rejoindre le Chesseton et de plonger derrière sur le ruisseau des creux de la Pigne et la piste de fond venant du Béal pour aller sur la Loge. Et là, j'ai trouvé la nouvelle vedette de la télé régionale …
(Ci-dessous le lien vers le reportage sur le col du Béal, qui commence au bout de 18 mn environ pour un peu moins de 5 mn dans le journal du mardi 20 à 19H00)
http://pluzz.francetv.fr/videos/jt_1920_auvergne.html
… Forez 63, à 86 balais comme il est dit dans le reportage. Là il était en ski de classique. Nous avons fait un bout de chemin ensemble puis nous nous sommes séparés à l'entrée du bois des Boules. J'ai pris la piste qui mène à la chapelle des Besses, mais au niveau des burons de chez Ferré j'ai fait demi-tour, l'enneigement étant trop juste.
Après je suis remonté sur le Chesseton pour le redescendre à nouveau au niveau des réservoirs et je suis rentré en brassant de la neige. Dur, dur, la spatule portait, puis au moment de l'appui, même en essayant de basculer un peu sur l'avant, le talon du ski enfonçait. Epuisant … :(
Enfin pour finir je suis remonté à Roche-Courbe, faire deux descentes et j'ai traversé la route pour remonter au niveau du rocher de peyre-Mayou, afin de se faire là aussi la descente. Mais là également, la montée était un crève chrétien comme l'on dit. Heureusement que les traces de raquettes sauvaient la mise. La descente était bonne sur le haut, puis au niveau de l'altiport, c'est un peu plat et le manque de vitesse fait que ça enfonçait. Et la fin était correcte sans plus. Il fallait y allait en douceur.
Donc on attend une vrai chute qui nous en mette un peu plus. C'est ce que nous nous sommes dit avec Benbois, que j'ai rencontré à la fin. Sinon, elle est extra, manque juste un peu de dur au fond.