Si j'ai bien compris, de la croix du Fossat-le Bechou-surplomb de Meyrand Billières- les Narses-le Thialler et la croix du Fossat avant la plongée sur les Reblats ??
Tu aurais dû ajouter le rocher de la fromagère, la font du blanc, le mont Chouvé, la Jacine et le haut des rochers de la Pause puis enfin la croix du Fossat, tu aurais été "super atomisé" pour le coup…
Je plaisante car je connais bien ces coins et, pour sûr tu as bien passé les 20 km…Bravo.
N 75, je confirme, il s'agit bien de la ligne qui alimente P/S/H et qui est enterrée à la sortie du bois, sous la lande. Bien sûr, en cas de panne de courant ils ont ce qu'il faut pour "tourner" quand même, sécurité oblige.
Je profite d'un rapide passage en Forez, en priorité pour contrôler mes ruches après l'hiver, mais autant joindre l'utile à l'agréable, et profiter des conditions de neige tant vantée dans ces pages. Donc ce matin direction les Supeyres, pour vérifier tout ça de visu. La face sud du K2 est bien enneigée, et laisse présager de bonnes conditions Cette année je n'ai pu profiter des belles conditions d'enneigement locales, mais le mois de mars en Forez propose souvent de beaux restes. Rendez vous était pris avec l'ami pierrot aux Gentianes, puis direction plein nord, histoire de profiter du beau temps. Le nouveau compagnon de pierrot, un sympathique cocker, trouvé au Col des Supeyres, nous accompagne et semble bien s'habituer au ski joering. Traversée des Egaux, où quelques snow-kitters profite à fond du bon vent du nord. Nous longeons "l'aile" du bois pour rejoindre la croix de fer (ou des deux bergères), puis ascension du suc de Pégrol en biais pour rejoindre les ruines des jasseries du Suc de Pégrol et descendre sur celles de Pradoux. Bonne glisse et neige plutôt agréable. Par contre Monthiallier nous révèle un versant Nord-est bien déplumé, on sent que le vent dominant de cet hiver fut de nord-est, et explique le bon enneigement des versant sud et ouest. Il faudra finir la saison sur un autre versant donc. Cheminement toujours en longeant la lisière au dessus des Reblats, pour rejoindre la croix du fossat, où l'on distingue clairement de beaux virages qui, d'après les messages ci dessus, ne peuvent qu'être ceux de N75, salut l'artiste. Les Reblats semblent encore bien enneigé vu d'en haut. Ensuite nous prenons la direction de la Richarde, et bifurquons au niveau de la cote 1500 plein est, vers la Loire. Nous empruntons cette très belle petite vallée, transversale à la ligne de crête du Forez, et qui permet de relier le Fossat au Chorsin. Très belle neige, malgré la température qui augmente. Nous prenons la direction des jasseries de l'Oule en naviguant dans les bosquets de bouleaux des sources du Chorsin. La vision de la haute vallée du Chorsin, reste toujours impressionnante, tel un coup de sabre glaciaire dans le moutonnement des montagnes du soir. (pour les Fourinas). Nous retraversons la"frontière" sous les ruines de l'Oule, pour rejoindre la grosse congères du versant est du Suc de Pégrol. La pente se fait magnétique, donc chouette descente dans une neige bien ramollie, avec des appuis un peu instables. Par contre au delà de la tourbière de Barras, l'enneigement est très limité, et la progression en continue sur la neige est impossible. Donc retour par le GR pour rejoindre les Supeyres.
Toujours aussi plaisant de skier dans ces contrées, j'espère que vous allez pouvoir en profiter encore quelques temps. Pas de problèmes pour la fin de la semaine, après…
Bonne fin de saison à tous
Damien63
Je vois que ça bouge encore au sud, a l'est et au sud est avec voile et pulka (y ont pris un pet au casque c'est le printemps).
Bon je l'ai peut être un peu aussi le pet, du coup, je vous donne donc quelques nouvelle du Nord ouest, ce soir c'est pause je ne suis pas de sortie, je viens d'en enchainer 3 de suite à ski nocturne jusque en gros entre 23h et un peu plus. Toujours à la recherche des petites chouettes de montagnes, j’arpente donc encore les pistes et chemins forestier seul la plupart du temps, hier avec Fabien.
Et tenez vous bien les amis, des petites chouettes j'en trouve, je m’éclate à écouter le poupoupoupou des tengmalm, et tout le reste, la nuit c'est une autre montagne.
Bon les ski ramassent un peu parfois, il commence à y avoir quelques trou dans le manteau, et en plus j'ai une carre qui se barre, je suis bon pour une nouvelle paire de planche la saison prochaine.
Demain ou ce week ou début de semaine prochaine je remet ça, il reste encore pas mal de coin à prospecter de nuit, j'en aurais même encore pour l'an prochain voire celui d'après.
A bientôt la haut.
Pour info aux skieurs rando ou raquetteurs, il reste encore suffisamment de neige dans le coin du Chansert.
Arrivé à la "grosse font" pour un petit tour sur le mont Chouvé (en raquettes), j'ai constaté que la route de Chansert était déneigée, avec de gros talus sur les cotés.
Je poussais un peu plus loin en voiture au dessus des 2 premiers lacets d'où, habituellement je pars dans le bois sur la droite, mais impossible d'y garer.
Sans certitude de pouvoir garer à Chansert, demi tour et retour en bas.
Départ dans le pré de la jasserie, franchissement en haut de celui ci, de la route déneigée et, tout d'abord, un chemin encombré d'arbres cassés qui aboutit sur celui qui va de Chansert à la route de Montrodez.
J'empruntais ce dernier sur la droite en montée pour "piquer" plus loin à gauche, et, avant qu'il ne redescende, direct dans le bois et déboucher sous les aires d'envol des parapentes.
Le sommet du Chouvé puis descente "à vue de nez" en naviguant entre rochers et arbres, en "tirant grosso-modo" sur la font du blanc dans un bon enneigement pour aboutir sur la piste de Montrodez, également enneigée et revenir à la voiture en plongeant à gauche avant les 2 derniers virages surplombant le parking dit "de la grosse font".
Un petit tour "sympa" de fin de saison qui peut se faire en skis sauf à la descente du Chouvé prendre la direction de la font du blanc (grande éclaircie enneigée) la route de Montrodez n'est pas loin en dessous de ce lieu.
Hier, lundi après midi, j'ai fait la rando en skis à partir du col du Béal, que j'avais différée dimanche matin en raison d'un temps exécrable (vent fort et brouillard épais) en me repliant plus bas sur l'ancienne liaison de ski dite "du merle" pour y faire une petite ballade en raquettes…
Donc, direction "le Chesseton", passage à l'arrière de puy gros en lisière de bois, descente au fond de puy gros puis montée de la piste de ski de fond, passage derrière "chez chitou", arrivée à "2 boules" et là, l'idée de descendre sur la chapelle des Besses et de profiter du bon enneigement actuel sachant que le chemin assez pentu vers la fin pouvait être un peu déneigé (ce qui fût bien le cas sur quelques dizaines de mètres)
La chapelle, du moins les ruines de celle ci sont toujours présentes mais chaque année qui passe tend à l'effacer du paysage et c'est bien dommage…
Heureusement, ce n'est pas le cas à la Richarde, de l'autre coté de Pierre sur haute où, le propriétaire et bâtisseur de l'édifice l'entretien soigneusement…
Passé la chapelle, je remontais le chemin entre les arbres (ancienne piste noire de ski de fond de "Camelot") pour déboucher sur les pistes actuelles communes au col de la Loge et au col du Béal, après passage dans une belle éclaircie comportant une ruine de "jas"…
j'empruntais à gauche ces pistes jusqu'au pied de la Montagnette, puis à droite la liaison raquettes Béal-Loge, où je bénis les skis de rando courts de " Forez" tant l'étroit sentier dans les arbres et les branches pliées m'obligèrent à slalomer…
Heureusement, 2 clairières bien dégagées dans une neige extra me permettaient d'aboutir à nouveau sur la piste de ski au niveau du passage du ruisseau et de son pont que je traversais pour prendre à gauche le grand pré des loges de la Lite.
De là, en longeant un parc et le traversant plus loin, je "plongeais" sur la loge "du Fossat" (Loire). Rien à voir avec la croix et la vallée du même nom pas très loin dans le Puy de Dôme. En tous cas, descente très agréable.
Sur la droite, le chemin en direction de Manjasson en évitant, par les prés, des portions en descente, pas trop enneigées.
La traversée de l'étroite passerelle sur le "ru" de la pigne m'obligea à déchausser. L'hiver dernier, dans l'autre sens, j'avais pu la passer à skis.
Pour éviter la montée du chemin encaissé, en face, je remontais par le grand pré sous les loges de Manjasson puis, par Courtaud (1336m) et les petites bosses qui suivent (cotes 1316-1342-1329) je franchissais la belle combe du 1er grand virage de la route sous le col pour arriver enfin à destination. Le passage du lattis, près du bâtiment fût facile, la neige le recouvrant complètement. Je dois préciser, pour avoir assisté au déneigement de la route, le 10 février dernier, que la "souffleuse" y est pour quelque chose…
En conclusion une petite rando agréable et variée, dans d'assez bonnes conditions d'enneigement et une neige portante, glissante, et "retenante" malgré tout…
La saison hivernale se termine mais il y a encore de belle sorties à faire dans ces coins. Toutefois, une petite chute de neige serait bienvenue.
Hier, jeudi après midi, au départ du col des Supeyres, rando-skis sur Prabouré.
Chaussé au départ pour mes skis d'alternatif pistes, j'eus la bonne idée de changer celles ci et le matériel adéquat pour du hors traces. Départ direction sud en lisière de bois par "la grande congère" surnommée ainsi lorsque les pistes de ski partant du col y passaient, et, à juste titre, car c'était, et c'est l'un des coins les plus enneigés du secteur. A cette époque d'ailleurs, on profitait à découvert des replis naturels du terrain qui conservent plus longtemps la neige, et évitent la pose de ces lattis disgracieux que l'on voit de ci de là, sans parler du travail généré par celle ci…
De cette "grande congère" qui domine le dernier lacet de la route avant le col, direction, en gros, le bois Balayoux avec une grande envie de rejoindre le chemin du grand genévrier aux Jassoux que j'apercevais plus bas et qui était enneigé. Par prudence, je restais plus haut tout en descendant quand même, en butée du bois Balayoux dont je remontais la lisière nord, passais au dessus du passage bien connu du ruisseau de Balayoux, pour éviter le déneigement partiel, et bifurquais à gauche pour arriver par un petit bois de hêtres au "refuge " du SHF (Sports Hiver Foréziens), puis le haut des pistes de Prabouré, le gros rocher que j'escaladais pour avoir une vue d'ensemble de l'enneigement qui suivait, et surtout d'une combe agréable à descendre qui conduit à la route de la Fayolle…
Par prudence je restais sur les pistes qui longent le bois et rapidement me trouvais en haut de la dernière descente sur le "bois du coin".
Mes skis, (ceux de "Forez") dans cette belle pente et par une neige extra ont dû se demander pourquoi je ne "godillais" point au lieu de faire de grands virages pour arriver à la route…
Bref, la route (piste) bien enneigée, de la Fayolle, le pont du même nom et le milieu de la grande plantation rectiligne de Ceylard, avec ses quelques bosses dont on se demande toujours si c'est bien la dernière qui arrive, puis la descente au col…
A l'arrivée, un bon chocolat chaud aux "gentiannes" et la salut amical de ses hôtes…
Somme toute, courte, mais bien agréable sortie…
Après 2 séances d’alpin à Chalmazel avec des amis du boulot et le week-end dernier à Méribel pour voir les finales de coupe du monde de ski alpin,
Le côté ouest de PsH n’était pas triste, impossible de tenir les skis sur la glace alors que la neige avait cessé.
Ben alors ! Plus personne ne sort ???
Ensuite je suis descendu à moitié par le bois et les chemins sur la cave paternelle. Descente un peu hard entre arbres tombés, branches et lichen, mieux vaut savoir virer et le tout sur une neige relativement dure par endroit mais excellente, fort heureusement pas tôlée.
Après j'ai remonté la vallée. Bon enneigement encore du pré sous la ruine, même si l'eau oblige à descendre plus bas, puis les ponts de neige encore présents mais pas pour très longtemps. Le mur était bien glacé et il fallait jouer des carres en escalier pour remonter. Ensuite, sous la croix du Fossat, dont le socle apparaît en totalité, la neige était plus propre mais plus molle (5 bons cm d'enfoncement) de gros cristaux de printemps.
Après il a fallu remonter en direction des rochers de la Pause et ça n'a pas été facile avec de gros manques de neige malgré la pente orienté est, mais on l'avait déjà vu lors du rassemblement en mangeant aux jasseries que la bruyère pointait le bout du nez, aussi 3 semaines plus tard …
forezJ'ai rangé le matériel de neige le week end dernier.
Ben alors ! Plus personne ne sort ???????
En bas d'autres impératifs,
Faire ce que je n'ai pas pris le temps de faire cet hiver.
Puis retourner au jardin et faire les premiers semis ou plantations. J'ai déjà été obligé de tondre. Le vert commence a être bien présent.
Mais surtout préparer mon circuit de 10 jours de vélo de voyage en Corse avec ma fille pour les vacances de Pâques.
Bref super saison, souhaitons que la prochaine soit aussi bonne et que l'on puisse se retrouver sur les Crêtes du Forez et du Foreze.
Jacou
Ce n'est pas de ski de "rando" mais de raquettes dont je vais vous parler, on peut bien leur faire une petite place dans notre rubrique je pense?
Donc, mon intention cet après midi était, partant du Fossat (borne Michelin parking au moins 3 voitures), de monter à la croix, puis faire une petite incursion "au nez" de la vallée des Reblats et revenir par le haut des rochers de la pause en fonction de l'enneigement.
Départ du parking en longeant le ruisseau, ou même les ruisseaux car il vient de l'eau de partout. Toutefois, de la neige en quantité en évitant les trous d'eau.
Arrivé au pied du "mur" en fond de vallée, nous l'avions appelé ainsi il y a fort longtemps, étant à l'époque, souvent emprunté par les skieurs et l'avions même nettoyé de ses arbrisseaux, ainsi que le sentier de la croix entretenu par des saignées d'évacuation.
Donc le "mur" franchi, me vint l'envie, à partir de là, de renouveler ce que j'avais fait il y a quelques années en skis, c'est à dire la montée directe entre les rochers, et la sortie pas très loin de la croix.
Dans ce secteur les rochers ne sont pas trop difficiles à passer. L'enneigement est très bon, et sans difficulté je me retrouvai en haut, mais dans le brouillard, et surtout un vent d'ouest fort et une pluie fine et continue… Décision: battre en retraite et tant pis pour les Reblats, ce sera pour plus tard.
Direction le sommet des rochers où je trouvais les traces de skis de "Forez" que je suivis dans de larges espaces très enneigés en bordure de bois pour atteindre le chemin qui descend au col de Chansert, sauf, que je le laissais pour "piquer" à droite plus loin, dans le bois bien enneigé afin de retrouver ma voiture garée à la borne Michelin, un peu trempé mais satisfait de ma courte sortie…
Pour ma part après une dernière sortie dans la neige fraiche entre la loge et le béal mercredi dernier, de 16h00 à 21h00, toujours sur les traces des petites chouettes, je crois que je vais ranger les skis, la saison semble bien finie.
Quoique des fois une bonne chute nous permettrais de rechausser comme en avril 2012 ou la montagne avait bien reblanchis de 30cm pour quelques jours après une fin mars sans neige, j'avais bivouaqué en mars sur la lande et en avril dans la neige.
Bon sinon en avril je courre les fin d'aprèm à la recherche de la chevechette sur les pistes et chemin en lisière supérieure au dessus de 1000m,
Anoumouéveur comme y disent à l'Est du Forez.
BenboisTon patois de Saint Just n'aurait-il pas un accent bretonnant ? :angel:
Anoumouéveur comme y disent à l'Est du Forez.
J'espère pour toi que ta femme ne va pas tomber jalouse de tes chouettes adorées ! :D
Je ne sais comment ça s'écrit mais dans le patois que j'ai entendu dans mon enfance à Vertolaye et au village du Garrait on disait phonétiquement : "à nous maï vire", mais on est bien d'accord sur ce que ça veut dire…
Je vous donne des nouvelles fraîches de ce matin sur la neige "au Supeyres":
Parti essayer mes "germina" d'occasion plus courts et aux carres plus affutées que mes anciens, j'ai été contraint de prendre les pistes car ailleurs, en hors traces ça paraissait difficile, sauf peut-être, de l'autre coté du col, la lisière des "égaux" coté Reblats…
Il était tombé 1cm de fraiche sur la "tôle" mais à la fin de mon tour de pistes avec une petite incursion en hors piste quand même une petite averse est venue se rajouter.
Le vent frais et fort de NO et la température -3° incitaient plutôt à chercher les abris dans les bois…
A maî vire…
lu dans le canard !
Une route, ouverte du mieux même l'hiver, qui relierait le col du Béal aux Supeyres, voir une bretelle qui ferait la jonction avec la route de Garnier, facilant l'accès à partir de la plaine du Forez.
Donc un projet symbole afin de sceller l'amitié entre les deux entités !
Bref, nous restera les Reblats…le dernier village Gaulois qui résiste à la société envahissante ! …et la Petite Laponie qui ne semble pas concernée !
Salut Bernard,
Tu peux me le faire passer cet article, que l'on se prépare pour la future ZAD du haut forez.
Et pour ma douce rassure toi je l'amène parfois avec moi.
Cette fin d'am malgré un vent frais ça chantais pour la chevèchette au nord forez.
A bientôt
N 75 tu m'as bien fait d'un reliquat d'argent sur une dotation, et craignant à juste titre de le perdre, l'a "placé" dans cette amorce de route des crêtes (c'est toujours ça de pris qui n'ira pas aux autres).
Soyons vigilants tout de même.
Enfin, "dieu (encore lui) merci, le PNRLF (et benbois) sont là, et comme Zoro ils arriveront à temps pour nous sauver de cette hérésie.
Possible coup de blanc sur nos sommets (au moins 5 cm) dans la nuit de samedi à dimanche, suivi de trois journées froides (sans dégel).
De là à pouvoir ressortir les skis, c'est bien moins sûr.
A surveiller !
pat42heuuuuu, elle est comment la face nord du Détruit ! :angel:
Possible coup de blanc sur nos sommets (au moins 5 cm) dans la nuit de samedi à dimanche, suivi de trois journées froides (sans dégel).De là à pouvoir ressortir les skis, c'est bien moins sûr.
A qui ça dit ? :angry: