Cette après-midi rando raquettes au départ des Supeyres également. Neige moins dure que jeudi, mais vent plus frais pourtant. Elle revenait un peu en surface mais c'est certain ne devait guère accrocher, les skis aux endroits où l'épaisseur est faible devait décrocher en enfonçant par le talon. Par contre les traces de skating et un skieur aperçu, montrait que sur le restant de damage, ça allait bien vu les possibilités du jour.
J'ai fait le tour de la plantation par l'est, où des marcheurs étaient dans les traces damées et malgré tout on voyait à leurs traces, que ça devait décrocher légèrement à chaque prise d'appui sur le bout du pied. J'ai vu des traces de skis de rando nordique qui revenait, également des traces de raquettes.
Les Alpes étaient cachées par une bande de nuage gris/rosé. A certains endroits la couche de neige craquait sous les raquettes. A ski ça aurait été un peu "spécial" et pour virer il aurait fallu bien choisir son endroit pour éviter d'aller au tapis. Au sud, le Mézenc et ses monts étaient dans les tons bleutés.
Puis comme jeudi en ski, j'ai pris le vallon et sans aller au pont de la Fayolle, suis remonté le long de la plantation et me suis pausé pour attendre le coucher du soleil. Il s'est fait désiré puis est tombé sur le massif du Cantal dans un joli orangé avant d'aller pousser ses dernières braises sur le massif du Sancy. La chaîne des Puys a juste eu droit à se chauffer de loin.
Sinon un beau soleil tout l'après-midi, ça bronzait ! Vaudrait mieux des nuages car à ce train on est pas près de skier. Il y a deux ans juste après Noël on avait eu 3 semaines de pause après 1 mois de ski, l'an dernier idem mais après 1 grosse semaine de ski et cette année ??? Le changement de lune est pour Noël, alors pour ceux qui y crois, croisons les doigts, si par hasard le bonhomme a un sac assez grand …
Ce matin, avec un ami, à partir des Supeyres, petit tour de raquettes par le bois d'abord en direction des jasseries de Malmotte, puis au dessous de celles ci, emprunté le cours du petit "ru" et remonté en gros direction sud jusqu'aux pistes damées de ski de fond, traversé la première, en bordure de la plantation de Ceylar, puis traversé celle nommée "descente de la grande plantation" pour prendre plus haut à gauche la "piste supérieure" et sortir en lisière EST de cette plantation, puis à travers "champs" en suivant les plaques de neige afin de revenir au col des Supeyres.
Température +4°, léger vent de Sud, neige toujours aussi "dure" mais qui semble tenir encore, jusqu'à quand ?
Pas de skieurs, seulement 2 personnes à pieds sur les pistes.
Aperçu 4 voiles sur le plat des Egaux, c'était un peu insolite vu les grandes étendues sans neige dans cette direction, mais rassurant en quelque sorte, cette discipline se pratiquant peu (Jacou n'est-ce pas), dans la bruyère ?
P/S:
je vous conseille sur la revue "ski de fond" qui vient de paraître, l'article de Régis sur le ski nordique, mais aussi l'éditorial du Président de l'ANCEF qui prône le ski de rando nordique et la raquette…
Pour moi c'était hier après-midi, également des Supeyres, mais cette fois en ski de skating. La dernière fois que je les avais sortis c'était en janvier 2013 mais sur ce type de neige ils allaient mieux que les skis de rando nordique, mis à part en descente où il a fallu faire du pas tournant là où ça enfonçait quelque peu. Mais tomber 40 à 80 mm de largeur ça fait un peu bizarre au début, par contre ça permet de faire plus de km en fatiguant beaucoup moins, une fois retrouvé l'équilibre plus chaotique et dompté du matériel plus rapide.
Sinon il faisait bon, j'ai passé mon temps en chemise et sans bonnet, les gants étant juste là pour protéger les doigts sur les 5 ou 6 chutes de la sortie. je suis parti par la lisière ouest de la plantation des Allebasses, un peu sur les pistes de ski et le restant du damage qui résiste bien et un peu en dehors où malgré les vagues, c'était plus agréable à skier, plus ludique sous les pieds avec un terrain moins uniforme et une neige plus souple qui enfonçait de 2 cm environ. Il fallait juste jongler avec les plaques de neige et la bruyère, un peu comme un navire qui cherche son passage au milieu de la banquise. Le seul ours aperçu au loin derrière moi était la voile jaune d'un kiter … Plus tard par un sms reçu quand ça captait, j'ai su que c'était l'ami Jacou.
Je suis allé comme cela jusqu'au lieu-dit les 4 communes (Saint-Martin des Olmes/Ambert/ Valcivières/Grandrif) ou le sommet du bois lorsque l'on monte par les pistes de fond, soit à 4 km des Pradeaux. De là, j'ai fait les 30 m de dénivelé pour grimper sur le suc de Montchaud et profiter de la vue sur la vallée d'Ambert et les monts du Livradois en face. La descente a été un peu folklo car orienté nord/est donc bien bétonnée …:.(
Puis par la piste de fond et le plat de Fayevie je suis descendu sur le pont de la Fayolle. Là les passages alternaient neige gelée et glace vive qui revenait en surface, donc il fallait conserver les skis bien droit et laisser filer mais la pente est très légère.
Ensuite j'ai tenté la suite de la piste en direction de Prabouré mais à la sortie de la petite plantation, hors de l'abri des arbres et exposé au soleil, il n'y avait plus rien. Donc je suis revenu au pont et suis allé prendre le vallon qui remonte à l'angle de la plantation des Allebasses à 500 m de la tête des téléskis de Prabouré. Mais avant d'arriver en haut j'ai pris à droite le long toujours d'une plantation, en lisière exposée EST donc encore enneigée et j'ai pu ainsi redescendre sur la piste au niveau des premières jasseries de la Fayolle. Là, il a fallu un peu tirer des bords dans les fossés pour gagner une autre lisière sur la droite toujours EST, descendre dans le pré sous les jasseries en direction du barrage et escalader deux barbelés en laissant sur la gauche et déneigée, la ruine du Château. Ensuite rejoindre la lisière NORD d'une plantation et revenir entre la Tuile et le bois du Coin.
Le reste fut plus délicat car si sur la lisière des 4 Rochers exposée NORD il restait de la neige, ensuite plus haut, l'exposition OUEST ne laissait que des fils blancs, donc j'ai choisi l'option de revenir par la piste sur les jasseries de la Fayolle et fait environ 800 m à pied pour, en longeant la première, remonter sur la côte 1400, dans une superbe pelouse de bruyère fauchée, qui avec le soleil déclinant se teintait de couleurs chaudes, d'un pastel baigné d'une lumière douce dans les ocre/orangé. C'est vrai que ça serait mieux avec plus de neige et de la bonne, bien sûr, mais malgré tout, c'était chouette … :)
Une fois l'interlude pédestre achevé par les retrouvailles avec quelques bancs de neige, j'ai pu ensuite regagner l'angle EST de la plantation des Allebasses, à 500 m des téléskis de Prabouré et filer le long par les pistes de fond jusqu'à la croix du Pialoux ou le soleil avait choisi de m'attendre pour plonger sur les montagnes du couchant auvergnat et m'accompagner pour l'ultime kilomètre, avec un horizon de feu aux Supeyres.
Donc ça ski encore, pas du grand ski mais ça débarrasse, seulement j'avoue que s'il n'avait pas fait beau je n'y serais jamais monté et la météo annonçant de l'humidité toujours dans la douceur, les lisières bien exposées n'arriveront plus à protéger la neige …
Bonjour,
Il y avait donc du monde atipique ce lundi sur les Crêtes du Forez.
Philippe en skate hors piste, 2 kiteurs sur roulettes, un skateur sur piste et le jacou en cani kite SRN.
Grâce aux informations précieuses de Francois, je prends tout :
SRN, kite, équipement d'alpin car le vent était annoncé fort, casse croute, pulka pour charrier le tout et un chien pour me tenir compagnie.
Départ du col des Supeyres vers 10h30, léger en SRN plus sac à dos et chien en traction. Je prends la piste de fond à droite en direction de Pialou. Bonnes conditions, facile à skier,
Comme Philippe le même jour, je longe la lisière Ouest de la foret des Allebasses.
Je pose le chien sous un arbre, au soleil et sur un tapis d'herbes sèches.
Il m'attend et me surveille sagement. Je kite plus d'heure entre la cote 1382 et la cote 1348., un peu au sud d'un lieu de Bivouac avec Philippe.
Je casse la croute, le chien m'en taxe une bonne partie de mon casse croute.
Je pars pour faire le tour de la plantation, en assurant au sud par un vallon défriché et ombragé. La neige était bien resté. J'ai suivi longtemps les traces de François en raquettes. puis retour par la lisière EST.
Retour à la voiture vers 15h. J'avais ma dose.
Conclusion : Une bonne journée, bonne glisse et bonne météo.
Par contre il faut être bien formé ou informé par les les "Forez" père et fils, pour trouver de la neige à mettre sous les skis.
Il pleut et il fait chaud à Sainté. La météo prévoit du très chaud. Ce n'est pas de bonne augure pour la semaine à venir.
Jacou
Ce matin, encore une petite sortie raquettes pour voir où en était l'enneigement sur le col de Chansert.
Parti du lieu dit "la grosse font" j'ai emprunté le pré bien enneigé sous la jasserie, puis, traversé la route (déneigée par les services de l'équipement) et à ce propos une petite anecdote m'est revenue et dont je vous fais part ci après:
Il y a pas mal d'années maintenant, à la création du domaine Nordique des crêtes du Forez, 2 foyers de ski de fond existaient de part et d'autre du col de Chansert, et dont les pistes de départ et retour empruntaient le CD sur lequel ils étaient situés.
La demande de non déneigement du col afin de pouvoir damer dès les premières chutes avaient eu l'accord sans réserve du responsable "D.D.E" d'alors qui avait apporté le qualificatif suivant " CETTE ROUTE QUI VIENT DE NULLE PART POUR ALLER NULLE PART" tant il était vrai et, encore vrai aujourd'hui, que son déneigement entre "la grosse font" et le chalet de la Roche, de part et d'autre du col est sans doute inutile et couteux…
Donc, après la traversée de cette route, j'ai vu tout de suite que mon chemin habituel dans le bois manquait de matière première. J'ai donc continué dans le fossé, difficilement jusqu'au dernier virage avant le col où j'ai "piqué" à droite dans le bois, empruntant d'abord un ancien chemin, bien encombré d'arbres, le long du ruisseau des "versades" et le quittant pour grimper au jugé en direction du mont Chouvé, en cherchant les rares éclaircies plus enneigées.
En sortant du bois je vis que la progression serait conditionnée par les plaques neigeuses. Enfin sur le sommet, je choisis la descente par les rochers à l'EST car, comme constaté en la traversant plus loin, la petite voie qui mène à l'aire d'envol des parapentes ou "delta" était au goudron.
Arrivé près de la barrière je vis les traces skis aller de "FOREZ" qui marquaient encore, traversai le large ruisseau sur des pierres et engageai la piste en direction du col. Nouvelles traces (retour) de"FOREZ" au niveau de la seconde barrière, puis plus loin des parties sans neige obligeant au déchaussage.
Je revins par la route (en déchaussant) puis quelques parties de fossés enneigés, et enfin le pré de départ de "la grosse font".
Conclusion: ça fait une sortie mais vivement des perturbations qui nous amènent un peu de neige…
Col des Supeyres (conditions d'enneigement)
Ce lundi 4/1 après midi je rentre d'une petite sortie, histoire de voir ce qu'il pouvait y avoir comme épaisseur de neige. Munis de mes Germina "cailloux", et malgré tout d'une paire de chaussure de footing dont je n'ai pas eu besoin car les 4à5cm au départ étaient suffisant (en évitant les descentes) pour se faire plaisir, d'autant que le fond était un peu gelé ce qui arrangeait bien la glisse. Direction les pistes par la droite au départ puis, plus loin, hors pistes sur le bois Balayoux dont je remontais la fin du ruisseau, le refuge du SHF, le haut des pistes de Prabouré puis la lisière Est de la plantation, enfin l'intérieur de celle ci en évitant les parties trop "fermées" par les arbres et où la neige a du mal à pénétrer.
Le vent était d'ouest, température 0° environ et petite chute de neige en continu.
Bonsoir,
Un petit récit de cet après midi.
Départ de Prabouré vers 14h30.
Je monte par la piste d'alpin. 10 bons cm de neige assez bonne, Bonne glisse et de l’accroche.
Brouillard et vent . Je glisse vers la lisière Est de la plantation. Je traverse la plantation pour rejoindre le bas de la lisière Ouest.
En sortant de la foret, de nouveau le brouillard.
Je sors la voile. Vent très irrégulier car je devais être dans une pente sous le vent. . Je vois à peine ma voile.
Un fiasco. Je plie tout. Je rentre au plus court car je voulais éviter d’allumer la frontale.
C'est difficile a skier en descente car ça va vite, ça glisse bien, mais ça manque de neige dans les bois peu ouverts. J’évite de rentrer par la piste de descente de Prabouré, c'est raide et les appuis ne sont pas nets, mais surtout avec le brouillard et ces Varilux, je ne vois pas le relief. C’était un essai de lunettes pas concluant, avec les lentilles, c'est bien plus facile pour apprécier le relief.
Pour regagner la voiture , Je prends donc la descente par l'ancienne piste de fond. Une cata, c'est étroit et pas assez enneigé. Je m'en prends une bonne, par devant et sur un genou. Je termine à pieds jusqu’à la route avant de re chausser pour un final extra le long de la route.
Conclusions : C’était extra, j'ai vu personne sur les skis.
J'ai vu et un peu glissé au retour dans de magnifiques traces d'un fondeur en classique. Je pense le connaitre pour l'avoir déjà vu à l’œuvre là haut . Il n'en rate pas une.
J'ai vu beaucoup de traces d'animaux.
Il y avait bien assez de neige pour pouvoir progresser. C'était bien sur l'herbe, ailleurs quelque pointes de bruyères dépassaient a peine.
Par contre ça risque d’être bien compromis pour les prochains jours jusqu 'a mercredi prochain.
A bientôt sur les Crêtes du Forez,
Jacou
Bonjour. Après le récit de Jacou voici le mien, de l'autre coté de Pierre sur haute, au col du Béal sur ce même massif du Forez de plus en plus fréquenté par tous les temps et hier, c'était un temps à ne pas mettre un animal dehors…
Arrivé au col, sur les 14h je pris la décision de faire demi tour suite à un fort vent d'ouest, du grésil à l'horizontal, et d'un épais brouillard.
Je garais donc la voiture au lieu dit "la grande tranchée" 2km5 au dessous, et partis en direction de la Batadie sur l'ancienne piste de liaison du domaine nordique. Malheureusement j'avais mal estimé la couche de neige à cette altitude et compris vite qu'il me fallait remonter au maximum pour en trouver suffisamment. Je pris donc une fois de plus les "S" de l'ancienne piste montant rapidement sur la crête, la couche épaississant au fur et à mesure de l'altitude. Débouchant aux jasseries du Béal, tournant pour le moment le dos au fort vent d'ouest, j'allais en direction des "Clissades" puis, après traversée de la route "déneigée" par la "D.D.E (allez savoir pourquoi?) je continuai sur "le merle" les jasseries de Pillières, passai près des captages du Brugeron, puis de la stelle en mémoire des 2 "résistantes" parachutées ici pendant la guerre de "40", pour "tomber"pas loin du col sur une connaissance, l'ami Banbois avec un copain qui allaient en direction de Puy gros, seuls indigènes rencontrés pendant ma sortie. De là, le col, et le retour au point de départ à l'inspiration en suivant les chemins et en évitant la bruyère à cause des, seulement 10à 12cm de neige exploitables…
Finalement pas de regret excepté la faible couche de neige (pour le moment) qui limite les possibilités.
Hola,
Petite sortie hier aprèm avec mon fils, départ du béal direction nord en passant par les pistes ou chemin pour profiter de la neige et éviter la callune et les myrtilles nous allé jusqu'au 2 boules et ensuite retour par puy gros, ça manquait quand même un peu de neige surtout sur les zones exposés au vent. Comme le disait forez63 rencontré au départ pas d'autres intrépides sur ce secteur. Vivement un peu plus de neige pour essayer les skis larges.
A bientôt
Des nouvelles de l'état de la neige, ce matin au col des Supeyres. La couche est d'environ 10 à 15 cm, humide avec vent d'ouest et température +5°.
Parti en ski écailles 50mm j'espérais trouver au moins une trace un peu récente en direction de la plantation de Ceylard, mais, en dehors de la mienne de lundi dernier qui marquait à peine, rien pour m'éviter de tracer tout du long et en particulier dans les lignes droites de l'intérieur de celle ci, sans saveur et sans fin quand on ne glisse pas, tant et si bien que j'en sortis pour naviguer hors traces dans une éclaircie parsemée de pins qui me procura plaisir et repos momentané. Plus loin également je sortis des "sentiers battus", au "pif" et rejoins les pistes avant les "bruladis" en constatant que, contrairement à lundi où il fallait "passer sur des oeufs", dans ce secteur caillouteux pour ne pas "gratter", ça passait très bien (pour le moment en tout cas.)
Donc de retour sur les pistes, je finis par rejoindre plus loin mes traces aller, afin d'y goûter un repos bien mérité jusqu'au col et à l'auberge de Karine et Guillaume pour déguster un chocolat chaud bienvenu.
Bonsoir,
Suite aux très précieuses infos de de Forez63, je pars pour les Supeyres. Bonne pioche, arrivée avant 15h, retour a 19h a la voiture et une bonne sortie de plus.
Pour dire vrai, il n'y avait pas de neige, sauf sous mes skis. Comme le font si bien les forez père et fils, il faut savoir la trouver. C'est un peu comme les champignons.
Je commence à bien copier les foreziens du 63. Je commence à trouver les secteurs où la neige a été déposé par le vent : dans des valons dégagés et à peine encaissés, les ornières des véhicules agricoles, les lisières sous le vent.
Et ca skie ! J'ai fait le grand tour de la plantation des Albasses. La lisière Ouest était limite. Puis j'ai fait 4 petits bords de kite, juste pour avoir ma dose, car c’était pas bien possible. Pour faire du snow kite il faut de la snow et il y avait plus de vert et de bouses que de neige.
Par contre ensuite j'ai trouvé un magnifique vallon qui avait une bonne couche et qui m'a permis de faire le tour de la plantation par le sud. Puis la lisière Est, et un vire vire dans la plantation.
C’était tellement bon que j'ai posé le sac et je me suis mis en mode fond classique. De nuit, vue au sud sur les feus rouges des éoliennes du Mezenc, à l'Est sur les lumières de la plaine du forez, à l'Ouest sur les lumières d'Ambert ? de Clermont ? Il y a une bonne couche derrière les barrières a neige.
Il faisait +7 a la voiture.
Conclusions : Bonne sortie.
A bientôt,
Jacou
.
Bonsoir,
Mon tracé GPS, je n'ai pas enregistré le début par la lisière Ouest.
jacou
Ce mercredi j'ai voulu voir ce qu'il était tombé comme neige au col des Pradeaux.
Skis écailles 50m/m aux pieds je suis parti derrière l'auberge sur env. 6cm de neige froide (tempé-3°) en faisant attention aux cailloux surtout au départ, car plus je montais et plus la couche prenait de m/m, pour atteindre, au plus haut, vers le barrage env. 10cm non soufflée donc très uniforme.
Tour classique par le petit chemin entre les arbres, arrivée sur celui dit "de la tuile" puis retour classique en direction des jasseries des mortes à savoir que j'évitais la première partie pentue du chemin dit des"réservoirs" en passant dans le bois (bien encombré d'arbres couchés) puis la bonne portion du chemin à plat (régal de glisse) et, important, flaques d'eau GELéES pour enfin couper la 2ème partie pentue qui conduit sur la route du barrage, en zigzaguant dans une grande éclaircie que Forez et moi (et sans doute d'autres) connaissons bien.
Finalement il faut bien se contenter de peu, et prendre ce qui se présente quitte à sortir les "skis cailloux" selon l'expression usitée ( d'ailleurs,de qui est-elle?)
Enfin on rechausse ( chose que je n'avais pu faire la semaine passée) les skis même si la couche est parcimonieuse …
Même Jacou est venu de Sainté le matin, plus courageux que moi pour la tester et me faire un compte rendu rapide au téléphone …
Départ des Pradeaux sur 7 cm de neige très humide mesurés sur la piste qui monte au barrage. On a hésité avec Forez63 entre les raquettes et les skis puis la couche étant assez compacte, on a opté pour la glisse. Temps couvert, visibilité à 300 m et T° entre 0 et - 2° environ.
Nous sommes montés par la piste du réservoir (à éviter en descente vu la faible couche) et avons bifurqué à droite sur les jasseries des mortes et sommes restés dans les chemins car en dehors c'est pas la peine, la bruyère est trop présente. La neige était beaucoup plus sèche.
Puis nous avons pris sous le rocher Y le chemin qui descend direction la Frétisse et entre les 2 plantations avons bifurqué à gauche pour rejoindre les jasseries de Piroux à l'Est du rocher Y. De là nous avons rejoint la route qui dessert la Tuile. J'ai testé le pré du haut du vallon qui rejoint la route de Prabouré, c'était bon, mis à part que les skis tanguaient un peu au niveau des appuis car sans sous-couche …
A la Tuile, 15 cm de mesurés. Attention je fais mes mesures en plein pré ou chemin, à un endroit où ça n'a pas trop soufflé, pas le long d'une lisière ou autre barrière qui fausse la donne, car c'est certain que sur les Supeyres le long de la lisière Est de la plantation, on doit être à 40 cm voire plus.
Puis nous sommes allés direction le bois du Coin et avons tourné sur la gauche le long de la lisière, 150 m avant. Là une averse de grésille puis de neige nous a vite blanchis mais elle n'a pas duré. Et nous sommes rentrés via le barrage en faisant attention sur la fin car ça "gratonnait" un peu.
Donc espérons que ça revienne un peu, la météo en annonce mais tant que l'on est sur un régime d'Ouest (le Sancy a mieux pris) voire Sud/Ouest (la semaine dernière le Cantal avait déjà bien pris), on ne sera pas vraiment bien servi. Faut que ça vire un poil à du Nord/Nord/Ouest voire Nord/EST pour nous flanquer de ces retours du service après vente des Alpes …
jacou4242Merci pour le tracé !
Mon tracé GPS, je n'ai pas enregistré le début par la lisière Ouest.
Sortie des Pradeaux cette après-midi en raquettes, car c'était pour la bonne cause, afin d'aller tailler et couper des arbres couchés en travers du chemin (en fait le terrassement sous lequel se trouve la conduite forcée venant du barrage) parallèle et légèrement en-dessous de la piste montant au barrage.
Ce chemin étant une piste raquettes payantes, ce travail relevait normalement du domaine nordique mais …
La neige et la couche étaient excellentes pour la raquette, juste ce qu'il fallait à condition de rester dans les chemins.
A la maison du barrage nous sommes tombés sur un groupe d'une vingtaine de personnes en raquettes, qui nous a accompagné un temps avant que nous ne bifurquions après le petit pont où ce qu'il en reste, vers le vallon où nous avions bivouaqué il y aura bientôt 3 ans avec Jacou et nos amis Lyonnais. Pari un peu risqué car sans sous-couche dans les grosses mottes caractéristiques de ces endroits humides, c'est un peu compliqué. Mais ça allait pas mal, nous avons quand même prudemment longé les lisières qui entourent le vallon, là où il y a moins de mottes et de trous.
Puis la Tuile où la couche grâce au vent, commence à s'amasser dans les chemins. Et le retour classique par le chemin du réservoir où un 4X4 était passé comme le long du barrage d'ailleurs. Traces à ne pas confondre avec celle sur la piste menant au barrage, qui sont celles de l'exploitant, pas de promeneurs.
En arrivant, 3 cm de mieux environ sur la voiture et ça neigeait jusqu'en plaine mais ça vient de s'estomper avec la nuit.
Voilà les dernières nouvelles fraîches du front comme dit N_75
Oui, en effet je me suis fait interpeller, avec un ami, par un jeune contrôleur au départ des pistes raquettes des Pradeaux, situé à quelques mètres du départ des pistes "skis".
J'ai été gentil car il ignorait certainement qu'un article (L 2333-81) du code général des collectivités territoriales, modifié par la loi 2006-04-14 etc… précisait que l'accès LIBRE ET GRATUIT au milieu naturel était maintenu sur tout site Nordique etc…, et, n'ayant pas le document sur moi, je lui ai résumé simplement l'essentiel : ACCES LIBRE ET GRATUIT AU MILIEU NATUREL et que nous n'avions pas d'autre chemin, au départ pour accéder au parcours que nous avions prévu, et bien entendu, la raquette étant avant tout la liberté de naviguer sans contrainte de parcours, nous quitterions le plus rapidement possible les pistes balisées, sans intérêt pour nous.
Ceci dit, il faisait son boulot de contrôle qui n'est pas spécialement marrant pour un jeune…
Ce matin,accompagné de ce même ami du message précédent, nous sommes partis en raquettes derrière l'auberge en empruntant au départ les pistes "payantes" (en sens inverse), rendant ainsi service aux "raquetteurs" susceptibles de revenir par là en leur "battant" (expression Québécoise) celles ci.
Plus haut, bonheur, plus besoin de "crapahuter" sur les talus à cause des arbres en travers. Les passages crées la veille par Forez et son amie que je connais pour avoir "raquetté" l'an dernier avec, étaient efficaces ( ceci dit, ils mangent le pain dans la bouche des employés du Domaine Nordique). Tant pis pour ces derniers, mais tant mieux pour les usagers (quels qu'ils soient, payant ou non payant comme nous) et avantageux si l'on a un horaire un peu "serré".
Passage au pied du barrage, prise de l'escalier, ( habituel quand il y a suffisamment de neige, en raquettes et même en skis) et direction "la Tuile" par les bois. Quelques traces raquettes d'abord puis notre petit sentier vierge entre les sapins qui garde si bien la neige pour arriver sur le chemin de "la Tuile" pris à gauche, puis rapidement à droite (sans traces) dans l'ancienne piste de ski de fond qui nous avait donné tant de soucis avec un des propriétaires du coin, jusqu'à aller en justice (enfin c'est le passé) celle ci débouche au pied de la butte du rocher Y (bût de notre rando). Je pressentais des difficultés pour monter cette pente dépourvue de chemin garantissant une neige à peu près stable où l'on est en pleine haute bruyère sans couche gelée pour appui. Ceux qui l'on pratiqué (en skis ou en raquettes) comprendront que chaque pas nécessite un effort important. Heureusement plus haut je trouvais un chemin herbé que je connaissais pour arriver enfin sous le rocher à contourner par la droite.
Pause bien méritée pour nous et photo (profitant d'une éclaircie).
Le retour, d'abord dans nos traces aller, puis dans celles du 4x4 cité par "Forez" se passa sans difficultés sauf qu'on pestait dans ces traces pas toujours assez larges pour 2 raquettes de front ce qui obligeait de fréquents changements (traces-hors traces). Si nous n'avions pas eu une question d'horaire à respecter, on avait d'autres solutions hors traces plus pénibles sans doute mais plus agréables. Ce sera pour une autre fois.
Quant à la couche "au pifomètre" car je ne possède pas encore le petit mètre breveté "Forez" plus précis, je l'estimais à 15-20cm.(peut-être 25). Mais je suis preneur de plus précisions à ce sujet.
Toujours des Pradeaux ce matin, 18 cm de neige mesurés derrière l'auberge, temps assez froid, quelques pattes de neige et du brouillard. La route était bonne, juste à faire attention à partir de 900 m d'altitude. Vent de Nord/Nord/Ouest.
Départ par le chemin de la conduite forcée jusqu'au barrage dans une superbe poudreuse légère et digne du Grand nord
Ensuite j'ai coupé en montant à travers le bois pour rejoindre à nouveau la piste de ski de fond et arrivé sur le plat de Fayevie, j'ai repiqué à gauche dans les bois pour rejoindre le Grand Pré. Il a fallu déchausser pour escalader les 4 rangs de barbelés juste sous la jasserie de Fayevie, c'est l'erreur que j'ai faite, il est préférable d'éviter le Grand Pré et de couper la piste de fond pour la retrouver dessous, le long du barrage. Même s'il y avait eu beaucoup de neige, les barbelés sont vraiment haut.
Les pistes de fond du retour le long du barrage ne sont pas tracées. J'ai suivi le chemin sur lequel elles sont pour rentrer tranquillement par le départ des pistes raquettes, 20 m avant la billetterie du domaine nordique. Ca raclait un peu dans l'ultime descente.
Donc il ne faut pas traîner pour en profiter tant qu'elle est là, car un jour de redoux et … :ermm: