L'arrivée tardive de la neige à l'altitude de nos balades en ski de rando nordique marque la fin des checks-points des bandes armées sur leurs pick-ups. Seules quelques tranchées de 4X4 subsistent sur les pistes forestières, vite effacées par la "poudrerie". Le domaine de fond de la petite station de ski de Mijanès n'étant pas encore damé nous profitons de la forêt pour faire notre première vraie trace de bûcheron de l'hiver en nous abritant du vent.
Le Donezan est encore préservé des activites de loisirs a outrance avec ou sans moteur
J’ai fait jeudi 1 mars une ballade à pieds sans ski et sans raquettes et avec de simple chaussures de trail et des chaussettes doublées d’une membrane goretex j’ai gravit le Canrusc au départ de Rouzes en passant par Mijanes, la forge catalane, la prise d’eau et le plan de la mire
Une boucle de 3h45 avec 1160 m D+ et avec ma chienne x border collie (équipement canitrail indispensable pour garder les mains libres et ne pas épuiser on animal par d’incessantes allées et venues )
Redescente plus classique sur la station de Mijanes et retour à Rouze par le sentier balisé
Un vrai régal à sentir la neige en direct sous les pieds pour plus de confort j’ai triché en empruntant un bord de piste qui m’a fait côtoyer quelques skieurs pendant une vingtaine de minutes
Rester vigilant sur les conditions d’enneigement les risques encourus
Fond de sac indispensable avec carte 1/25000 boussole et altimètre
Somptueuses sensations garanties à vivre en direct sur le terrain
La crête du col des Trabesses au col de Sira réservé aussi de belles surprises en hiver
Soyez prudents tout de même
Bonne âme de neige, tu as réagi à ma phobie des activités motorisées en milieu montagnard par cette phrase “Le Donezan est encore préservé des activités de loisirs à outrance avec ou sans moteur”.
Je dispose d’une belle collection de faits divers, anecdotes, sketches en tous genres, me permettant d’argumenter et d’étayer ma théorie « du facteur » (interdire tout vėhicile motorisé au-delà de la dernière maison du dernier village (là où s’arrête le facteur…).
J’ignore si la communauté est favorable à un tel débat (qui changerait de nos conversations sur les les normes des fixations ou la ligne de cotes des skis), aussi je te proposes, si tu le souhaites, d’en discuter hors du site, si tu me donnes une adresse mel de contact.
Oups, maudit clavier virtuel : pas eu le temps de corriger les fautes d’orthographe (certaines piquent un peu…) et d’ajouter une formule de politesse. Pas moyen de corriger ses commentaires quand le coup part tout seul ? Ar’vi donc…