L’émergence du Telemark dans les Alpes : une discipline nordique

L’émergence du Telemark dans les Alpes raconté par Lionel Condemine…. Et c'est un peu l'histoire du ski de randonnée nordique ou le ski de fond Hors-Trace : http://vimeo.com/90971206 - STT (Ski Tout Terrain)

Je suis complètement fan d'à peu près tout ce qui est dit.
Après je ne peux que réagir quand même sur la platitude du relief jurassien. C'est vrai qu'on déplore par chez nous beaucoup moins de morts par avalanche, mais faut quand même faire attention. Je pense que les télémarkeurs Jurassiens attachés à leur massif vont apprécier. En tout cas ceux qui ont réussi à accéder en équipe de France, en s’entraînant dans nos plats doivent avoir: soit bien du mérite, soit de sacré gros bras pour prendre de la vitesse en poussant sur les bâtons. J'en remet une couche avec le sourire car ça m'amuse, mais faut peut être prévenir la FIS, qu'ils s'apprêtent à organiser une coupe d'Europe de géant dans un mois, dans une station qui ressemble à priori à une bien morne plaine.
J'ai déjà écrit des trucs sur le sujet, mais je ne sais toujours pas de quel ciel tombe cette barrière des 20° au delà de laquelle, le skieur qui a des SRN aux pieds semble entrer dans un passage spatio temporel, qui le transforme en autre chose qui me semble assez mal défini.
Pour ceux qui en douteraient encore je confirme qu'il existe des pentes de plus de 20° dans le Jura, et je conçois assez mal l'idée d'expliquer à mes clients que quand on arrive dedans, on rentre dans un domaine nommé "alpi nordique" ou "jurassico alpi nordique"
Pour moi la rando alpi nordique est une vision un peut trop alpinocentrée à mon goût, d'une pratique du SRN dans du terrain qui penche un peu plus que ce qu'on a l'habitude de voir.
Comme l'explique très bien Lionel, c'est l'évolution du matériel qui rend possible, à un plus grand nombre de personne, l'accès à ce type de terrain. J'entend aussi dans le reportage que le terme alpinordique, relève d'une appellation employée dans les hautes Alpes, où il y a une vraie culture du SRN. Pour connaitre suffisamment le terrain, notamment sur le secteur de Névache ou le Queyras, je reproche juste une certaine forme de déni de possibilité de trouver des profils de rando comparables dans d'autres massif plus typés nordiques. Et si on est prêt à l'admettre, on peut vite comprendre que l’appellation, peut sans doute perdre du sens dans la montagne à vache (jurassienne, Auvergnate ou Vosgienne&#8230:ermm::wink:

sancho
Pour ceux qui en douteraient encore je confirme qu'il existe des pentes de plus de 20° dans le Jura, et je conçois assez mal l'idée d'expliquer à mes clients que quand on arrive dedans, on rentre dans un domaine nommé "alpi nordique" ou "jurassico alpi nordique"
Tout à fait Sancho ! Et pas que dans le Jura : en Auvergne, Sancy et Cantal, il y a des morts par avalanches (pas de quoi en être fier) et des pentes raides, certes moins longues que dans les Alpes : Chaudefour, Redon, Puy Ferrand : les free riders locaux s'éclatent bien !
Et on y trouve aussi des itinéraires alpi-nordic-auvergnats comme le Val de Coure fréquenté le même jour (fin avril 2013 !) par des raquettistes, un skieur SRN (moi), des randonneurs alpins et une cordée piolet-crampon !
Ce qui gène dans l’appellation SRN, c'est la référence au Nordique, qui pour beaucoup veut dire balade pépère dans des rails sur une piste plate …
De mon point de vue, c'est un frein au développement du SRN pour les populations jeunes.
Mais quand on y a gouté, on ne peut plus revenir ni au ski de fond traditionnel, ni à l'alpin avec 4kg de plastique au pied ! SRN = ski liberté !


jmc63
Ce qui gène dans l’appellation SRN, c'est la référence au Nordique, qui pour beaucoup veut dire balade pépère dans des rails sur une piste plate …


Oh que j'aime cette remarque! (soupir jubilatoire) :slight_smile:

Le SRN, c'est le ski pour se déplacer, marcher et descendre sans pylônes, ni rails.

Juste une remarque sur le Jura, le plat, c'est juste pour reposer les cuisses entre 2 belles pentes vierges et amusantes… et certaines sont parfois bien raides:)
ah ce snobisme de Haut-Alpin :stuck_out_tongue:

HE!!! On va se détendre les grands descendeurs du terme "nordique":o:silly:
Le problème de la dénomination "ski nordique", c'est qu'elle est toute aussi symbolique des valeurs de ceux qui pratiquent, qu' entachée de clichés pour beaucoup de non pratiquants,
Oui, le monde du nordique est plein de clichés, qui ont été gentiment instillés par les professionnels du nordiques eux mêmes.
Petit rappel sur un truc que j'avais piqué sur le forum à notre ami Robert, pour le glisser dans les cours que je donne à Prémanon:
Extrait d’un magazine qui traitait spécifiquement du développement en montagne, parut le 8 janvier 1977.
« le ski nordique en question :
Face à la croissance explosive de la pratique du ski nordique ces dernières années, une étude du SEATM souligne que "le matériel de ski de fond tel qu'il existe ne comble pas les exigences de la clientèle" et "ne correspond pas à l'image idyllique largement diffusée par les médias". Les services du SEATM et en particulier le directeur Georges Cumin, se sont penchés sur cette question et proposent la mise au point d'un matériel adéquat, intermédiaire entre le ski de fond et l’alpin
. Autrement dit, souligne la rédaction d'Aménagement & Montagne : "la réponse appartient aux fabricants !"
Alors, les amis je vous rejoins tout à fait sur le cliché bien réel d'un ski nordique planplan de vieux barbus. Le monde du nordique est tellement planplan d'ailleurs, qu'il a mis 40 ans pour accoucher d'un concept matériel qui existait déjà au XIXème, et répondre enfin aux recommandations de Mr Cumin.
Tous ceux qui sont déjà montés sur des skis de fond, savent qu'il n'y a rien de planplan à réussir à tenir en équilibre sur ces baguettes qui glissent merveilleusement, tant qu' on arrive à les maîtriser. Personnellement j'ai changé de métier depuis 5 ans. Avant j'étais moniteur de ski nordique et accompagnateur de groupe en rando nordique sur du ski de fond à carres. C'était le même job que Lionel quand il était à Chapelle. Un truc génial pour le côté contemplatif, mais où le plus gros de ton métier se résume: à un travail d'expertise sur la lecture des lignes les plus plates du monde à trouver sur des cartes ign.
Un moniteur de ski normalement ça aime la glisse et ça aime aussi la faire partager. Le problème des skis fins c'est que tu partages facilement les plaisirs contemplatifs de la montagne, mais côté glisse faut être objectif: maîtriser des baguettes ailleurs que sur du plat descendant c'est pas un loisir de vacancier, c'est une passion pour un local qui s'y plonge toutes les semaines, ou un métier. La platitude imposée au public par l'usage de planches trop fines est bien porteuse de l'image planplan.
Je ne connais pas Lionel personnellement, mais mon avis: c'était un type tellement passionné par les plaisirs de la glisse, qu'il s'est donné les moyens de les faire partager à ses clients, en passant le guide de haute montagne. Ce qui lui a permis d'accéder à du matériel plus adapté pour ses clients, tout en gardant les vrais plaisirs contemplatifs de la montagne, ceux qu'on trouve à l'écart des stations.
Je perçois derrière cette barrière à 20°: une lecture du terrain dans lequel il évolue, où passé ce cap dans la pente, tu réfléchis plus en faisant appel à des connaissances de guide, qu'à des connaissances de moniteur de ski de fond. Pour autant c'est pas pour rien que tout les BE nordiques (DE aujourd'hui) sont formés sur des connaissances en nivologie, en recherche ARVA, déclenchement de secours, orientation, construction d'abri de fortune en milieu hivernal….
Sinon à l'opposé du cliché planplan, les professionnels du nordiques se sont bien acharnés à communiquer pendant plus de 20 ans, de manière quasi exclusive sur des images de médaillés olympiques. L'autre cliché, c'est que le ski de fond est un univers exclusif de sportifs de compétition. Dans ce cliché là les pros du nordiques ont été bien pro aussi.

Entre ces deux extrêmes, le champ des possibles dans le ski nordique est très vaste. Et chacun est libre d'inventer son univers nordique sans trop s'imprégner de ces clichés. Ça serait pas mal qu'un jour dans l'univers d'ultras techniciens des professionnels du nordique, on sorte un coup le nez du guidon de la compétition, pour s'éveiller un peu sur ce qui peut être bon à partager et qui reste facilement accessible pour Mme Michu ou Mr Dupont. Car quand on y réfléchi le champ des possibles est très vaste, et potentiellement très populaire.
En attendant, c'est sur que dans le développement du ski de randonnée nordique, le terme nordique, fait pas briller les pupilles, de bien des gens susceptibles d'êtres intéressés, et qui n'ont jamais pratiqué d'activité en ski nordique. Le jour où j'ai commencé à communiquer sur de l'activité SRN en utilisant le terme backcountry, j'ai reçu plein de cailloux de mes pères. Je concède volontiers que l’appellation n'est pas géniale, mais pour moi à défaut de mieux, je juge le terme backcountry, commercialement bien plus intéressant en fonction du public que je cherche à accrocher.

Ah bon, tu fais du ski d'arrière-pays Sancho ? Te voilà suppôt de la mercatique ! Fais pas chier, tu fais du ski point-barre :angry:

Talon libre , je valide 99.5% de ton pétage de plomb, j'enlève juste ça

talonlibre
(tu as le droit de m'encadrer avec ton accordéon favori). Enfin ça dépend, si c'est au premier degré, je dirais que j'ai rien contre mais sur des skis t'as pas besoin d'encadrement. Si c'est au deuxième degré, je dois pas aimer bien plus les cadres que toi.

Et tu me donnes juste l'envie d'en rejouer un petit air.
Car oui un ski est un ski: un bout de planche avec au moins une spatule, un concept matériel qui permet d'inventer tout ce qu'on veut, pour jouir des plaisirs de la glisse.
On module le concept, comme on veut, ou comme on peut, pour aller prendre ce qui nous donne de l'envie dans l'univers de la glisse.
Même avec deux spatules ça a du sens , enfin si on a des écailles c'est moins intéressant:P

Bonjour les gourmands de glisse libre…
Merci d'abord pour les termes laudatifs, j'en suis touché et c'est bien si mon blabla donne à échanger autour de ce vrai ski.
Bon, je vais m'expliquer et essayer de faire court pour ne pas vous retenir alors que dehors il neige (on aimerait bien en tous cas ici !!).
Je ne peux plus retirer mon injonction déplacée sur les rotondités délicieuses de ce massif qui a mon coeur. Je ne le redirais donc pas ainsi aujourd'hui mais je vais vous donner néanmoins mon point de vue :
Il n'y a pas de limite bien sûr qui définisse telle ou telle pratique (ce serait à l'opposé d'une pratique non normée d'ailleurs) et les fameux 20° ne sont qu'une approximation disons… d'expérience.
Il est vrai que le ski nordique a souffert longtemps d'une inadéquation entre l'envie des skieurs d'aller greuiller loin des endroits habités (de traces, de mécaniques ou autres mouvances) et un matériel de ski de fond complètement inadapté voire contre indiqué à une telle forme de ski.
Les meilleurs ont survécu ! la majorité s'est mise à la raquette…
Il a fallu du temps pour que des fabricants se penchent sur cette niche confidentielle. Régis de son côté a fait beaucoup en associant sa passion au vertus du numérique. Il semble aujourd'hui que l'activité reprend des couleurs et porte plus loin les possibles de cette glisse originelle et longtemps prosaïque.
En trainant mes spatules dans pas mal de régions et surtout avec des compagnons dans ma trace, j'ai juste fini par identifier deux grands familles de terrains, et qui ne vont pas avec les mêmes matériels.
Je sais bien que le Jura comporte des pentes raides mais là n'est pas le sujet il me semble car ce n'est pas le terrain qu'on va fréquenter quand on veut traverser le massif en nordique. Globalement, je ne prends pas le même matos pour aller de Bois d'Amont à Chapelle que pour passer le col de Péas ; ou pour aller dans les Amburnex versus le col Perdu à Rochebrune.
Dans un cas , je (mes clients également) préfère un matériel ''back country'' relativement souple et léger, avec anti reculs. Dans l'autre j'ai un matériel proche du TLK avec des chaussures à crochets, des peaux et la technique qui va avec…
20° reste théorique bien sûr et pas que pour une histoire de prérogatives. Une pente douce se négocie bien avec un matériel ''doux'' et souple (pas ou peu de virages, pas ou peu de difficulté dans les dévers). Une pente plus soutenue, pour peu qu'elle soit tendue, il n'y a que du matos qui soit un peu rigide qui permette une aisance en traversée, dérapages ou autres virages.
Et si chacun d'entre nous se débrouillons à peu près dans ces différents terrains par savoir faire évident et avec des douves de tonneaux, il n'est est pas de même pour des personnes qui ne chaussent une fois l'an et qui pensent vacances…
Je me permets de préciser que les propriétés mécaniques d'un ski nordique anti recul se rapprochent du ski de fond (donc ce n'est pas un ski vireur) alors que le ski que nous utilisons dans du plus raide n'a pas de système anti recul et donc possède une courbe de répartition des appuis qui se prête au virage.
J'espère ne pas vous avoir ennuyé. C'est plaisir de parler de ce ski bien sympa.
Le meilleur sous vos planches, LIOnel











Gedryg
On en a retrouvé dans une boîte en sapin pour moins que ça !
On a vu des sorcières brûlées vives pour moins que ça!;)
Je fais des commentaires qui peuvent parfois être virulents. Je crois qu'ils sont surtout "insistants".
Hormis, à l'égard de certaines institutions à qui l'Etat délègue la responsabilité de l'encadrement du SRN, je ne crois pas avoir trop écris de lignes à caractère si agressive que ça sur le forum. Au passage je mords la main qui me nourrit, il arrive quand ils m'embauchent, que je prenne le temps de les pincer dans leurs bureaux avec le sourire, et j'ai toujours l'impression de ressortir en étant passé pour un marginal.
Si je suis insistant sur le forum, c'est entre autre car je suis passionné par le SRN. Il découle de cet état, que j'ai un certain nombre d'idées sur le sujet, qui peuvent être plus ou moins bonnes. Je les expose volontiers avec suffisamment d'insistance, pour quelles suscitent le débat. Certains se contentent de liker comme sur facebook, et ça m'intéresse de savoir qu'on puisse partager ces idées. D'autres alimentent la contradiction, et participent en ce sens à faire évoluer mes idées. Pour ceux qui ont suivi le sujet "cotation" lancé par l'ami Talonlibre, ça me plait d'avoir un Arluk, un Nicolas Masson, ou un N_75 qui viennent apporter un peu de grain à moudre dans la contradiction, pour faire avancer le schmilblick.
1: Comme le souligne Lionel le SRN est une pratique qui n'est pas normée. Le SRN est pluriel et mérite d'y rester car ça participe aux divers intérêts que l'on peut y trouver.
Parallèlement:
-2: des institutions comme le CNSN ou le CNDN, considèrent cette pratique comme marginale.
-3: le nombre de professionnels qui s'y intéresse est anecdotique. Quand on ouvre l'annuaire pro sur l'encadrement, la liste n'est pas exhaustive, mais on trouve 14 prestataires en France. Quand on ouvre les sites internet, je "dirais" (conditionnel pas si parfait), qu'il y en a au moins 9, pour qui la pratique du SRN revêt un caractère plus que secondaire.
De mon point de vue, les évolutions matérielles actuelles en SRN sont de nature à modifier tant la pratique, que le volume potentiel de pratiquants. Il y a un certain nombre de personnes, qui ont un intérêt à voir cette pratique évoluer, et qui communiquent déjà pas mal sur le renouveau possible du SRN. Ce forum est un bel outil d'échange, qui peut permettre de prendre en compte les attentes des pratiquants, pour éventuellement redéfinir ou compléter les termes à même de bien exprimer la richesse de cette activité. L'idée étant que parmi les gens qui communiquent, si on parvient à avoir un discours réellement concordant, ça peut sans doute contribuer à sortir l'activité du caractère marginal où elle est.
Pour faire écho, à un des derniers sujets ouverts sur le forum, je dirais: "pratiquants de SRN qui pourraient avoir envie de voir cette activité sortir un peu plus de l'ombre, unissons nous"

Merci Lionel pour cette réponse,
Si je comprends bien, quand tu parles de TK léger, tu parles de skis de rando qui n'ont pas d'écailles. Si tel est bien le cas, je concède volontiers que le Jura sans être complètement dépourvu de terrains intéressants pour cette pratique, reste un territoire très limité. Hormis quelques sommets comme: La Dôle, les Monts Jura, le Chasseron… Il y a peu de terrains adéquats qui permettent de rendre l'usage exclusif de la peau de phoque en montée réellement intéressant. Sur ce type de façon de randonner en nordique, je n'ai aucune objection à parler d'alpinordique d'ailleurs, car le terrain adéquat à cette pratique correspond sensiblement à celui de la rando alpine.
Je ne sais pas s'il est bien nécessaire d'avoir une certaine forme de frontière entre SRN et rando TK. Ce sont toutes deux des pratiques incontestablement nordiques, de randonnée.
Mais mon sentiment semble rejoindre le tiens là dessus, et je dirais que oui, la rando TK se distingue du SRN, car on est obligé de mettre des peaux pour monter. Ce qui a pour effet d'aller chercher un peu les mêmes terrains que ceux exploités en rando alpine. Ces continuités de pentes sont biens présentes dans les massifs dit alpins, et beaucoup moins dans des massifs plus nordiques. La source de confusion vient entre autre du fait que l'évolution du matériel de SRN, fait qu'on trouve des skis à écailles qui sont de plus en plus vireurs. Et qu'on entend de plus en plus parler de matériel de tk léger pour décrire des skis à écailles.

billglisse
En trainant mes spatules dans pas mal de régions et surtout avec des compagnons dans ma trace, j'ai juste fini par identifier deux grands familles de terrains, et qui ne vont pas avec les mêmes matériels.
Pour moi, l'apparition de matériel de skis larges et pourvu d'écailles, fait ressortir un 3 ème grand type de terrain. Pour toi qui connait bien les Amburnex, avec des skis larges on part facilement du Marchairuz, pour aller chercher le Crêt de la neuve, et esquiver les Amburnex pour passer dans la combe Vallouse. En somme ce type de matériel, me permet de faire partager à des clients, des terrains qu'il m'était très difficilement concevable de fréquenter avec eux, il y a 5 ou 6 ans. En fonction du niveau de mes clients, je cherche aujourd'hui, un peu le même type de pente que tu recherches en rando tk, sauf que dans le Jura on a pas la continuité des pentes.
Les conséquences de l'apparition de matériel de ski de type: annum ou epoch, alliés à une norme 75, sont que le potentiel de balade sur le Jura est démultiplié, et que l'accessibilité du SRN à des skieurs de faible niveau (physique et ou technique) prend un bon coup de boost.:smiley: