Je tiens tout d’abord à signaler que 83% de notre effectif ne connaissait pas le SRN, et de surcroit 16% pas le ski tout court. Bon en fait, on est 6, et l’un d’entre nous n’a jamais vu l’ombre d’un ski, ou alors de loin. Quant au 7e homme, ou plutôt femme, Nanouk, husky de 2 ans, est toute contente de quitter la grisaille parisienne pour batifoler dans la neige !
Merci Jean ça fait grandement plaisir,. Dans les choix stratégiques de cabanes, dans les choix d’itinéraires il y aurait eu moyen d’optimiser la qualité du ski et le confort nocturne. Mais ton récit transpire le bonheur de cette petite expérience. C’est en forgeant qu’on devient forgeron, n’hésites pas à rappeler pour une prochaine parenthèse jurassienne, je pourrais sans doute passer goûter le risotto et le rouge du recoin. En tous cas on s’est râté de peu dans votre fin de séjour, j’étais de l’autre côté de la route avec un groupe qui n’a pas boudé son plaisir non plus.
A la revoyure