Un Robert en pleine forme, de la neige… que demander de plus pour un bel hiver?
Quelques journées avec Lionel Condemine dans les Hautes-Alpes, cela doit-être pas mal non plus pour bien dresser tes beaux skis… je suis sûr qu’après cela, ils exécuteront de superbes virages telemark avec grâce et élégance.
Je rectifie mon précédent post : Ils ont bien
ce book chez Aventure Nordique : je viens de
le commander . Hier le site refusait de prendre
ma commande ! Bizarre ! @Talonlibre : ca t’interesse les hautes alpes avec le Lionel ? Moi ce qui me plairait d’avantage , c’est le Jura Suisse : Il m’a parlé de petits refuges savoureux ….Savoureux , ça c’est un adjectif qui me fait craquer . Bien sur l’objectif
c’est de perfectionner son télémark …Putain, je
te raconte pas la gammelle que je me suis pris aujourd’hui : durs à réchauffer les vieux muscles !
J’ai une excellente raison d’aller traîner dans le Jura, même suisse, en ce moment.
Pour la gamelle, je m’en suis aussi mis une jolie hier en descendant un peu tard (trop tard pour bien voir le relief), et la croûte de regel m’a immédiatement sanctionné.
Un excellent petit livre qui manquait en français !
Lionel a du en former des télémarkeurs dans notre beau pays, moi le premier: on se voit presque tous les ans depuis 1996 :-))
Salut Eric, ravi de voir que tu continues à plier le genou, malgré la vente de tes jolies chaussures italiennes.
A l’occasion d’un de tes passages en Haute-Savoie, il faudra bien que nous levions le coude et plions le genoux ensemble.
Salut Jean Christophe
As-tu eu mon mp ? Peut-être pas, je te disais que la première et la dernière photo de ton article sont de moi ! Merci de préciser le crédit photo …
Je viens de le recevoir et je l’ai dévoré d’une
seule bouchée . Miam !
En fait c’est a lire et évidemment à relire . Pour
cela le format est très pratique : a prendre avec
soi pour la route, à méditer page par page entre
deux génuflexions…
C’est hyper-pédagogique et je crois qu’il est bien
conscient que son public , c’est pour une grande part des skieurs venant d’autres disciplines et
qui se sont lançés tout seuls …D’ou pas mal de
conseils qui me semblent utiles pour éviter que
s’inscrustent des mauvaises habitudes .
Pas mal les photos ; mais ce qui m’a marqué c’est
la qualité des illustrations ( elles sont de l’auteur) Un dessin simplissime et pourtant terriblement précis . Il devrait faire de l’aquarelle , le Lionel .Par certains cotés , ces
dessins m’ont fait penser à ceux de Marc …
j’ai acheté l’ouvrage il y a qq jours. Rien à dire sur le contenu, j’admire et j’essaie apprendre ! Mais par contre le contenant après trois ou quatre manipulations « normale » s’effeuille lamentablement. Le dos carré collé de la couverture a lâché et je n’ai plus qu’une série de feuilles à ne pas mélanger !
Suis je la seule dans ce cas ?
non mimi , t’es pas toute seule ! Mon exemplaire aussi a le mème défaut .
En fait c’est un défaut , mais c’est aussi une incitation a faire relier en cuir pleine feur …
C’est le genre de bouquin qu’on lègue a ses petits enfants, non ? Ou qu’on emmène sur une ile déserte
avec un exemplaire de la bible et les oeuvres complètes de Balzac .
Heu ! Un ouvrage sur le télémark sur une ile déserte …Je vais un peu loin là !
Je viens de lire l’ouvrage de Lionel Condemine et j’ai beaucoup apprécié l’esprit comme le coté très pratique de son propos.
J’y ai entre autre découvert l’écart qu’il y a entre ce que je fais et ce que je dis de faire aux autres. J’ai très souvent sous-estimé l’importance du contrôle de la pression du ski arrière et de la position sur la base des doigts pieds, ce qui fait ressort et assure la maîtrise du virage comme la perception des sensations.
Son propos pourrait être enrichi d’un chapitre à l’usage des seniors désirant acquérir cette technique de progression avec les articulations suivantes
a) bien fait de cette pratique pour les articulations usées, pour le ski en douceur (dans les neiges non gelées),
b) pratique de l’apprentissage en pente un peu raide (20 à 25degré) avec le principe du virage déclenché à l’arrêt.
c) utilisation de la conversion à 90 degré (en neige profonde pour des pentes supérieures à 20dégré et en foret. Le skieur déclenche son virage face a la pente et n’a plus que 90 degré à faire pour se retrouvé dans une autre posture arrêtée.
Jean Claude