Bonjour à tous!!!
Nous prévoyons avec un ami de nous rendre au Spitzberg début avril 2018 (vraisemblablement du 7 au 18-). Nous partirions en autonomie totale pour 7 à 8 jours sur le terrain.
Le problème reste le nombre d'inconnues qui nous freinent un peu sur la prise de nos billets d'avion. J'aurais vraiment besoin du retour d'expérience de personnes qui s'y seraient rendues dans les mêmes conditions.
- Avez-vous eu des difficultés pour obtenir l'autorisation de louer un fusil? Quand ils parlent de certificat de bonne conduite, notre extrait de casier judiciaire (vierge evidemment) suffit-il?
En France, rares sont les personnes possédant un permis de port d'arme…
-Pour une première, nous prevoyions de rester aux alentours de Longyearbyen (l'itinéraire reste à définir, je vais m y atteler ce WE). Initialement nous pensions tenter de nous faire transporter jusqu'au kapp dufferin et faire la traversée est-ouest mais après réflexion cela nous ne paraît pas raisonnable . Nous voulons d'abord nous familiariser avec l'environnement, les conditions MTO…
En revanche y a t il des personnes parmis vous qui l'ont déjà fait et combien aviez vous payé le transport? Cela nous interesse car cette expé aura certainement un goût de "reviens-y" et nous devrions y retourner en 2019.
Enfin dernière chose. Nous partons à deux, il n y aura pas de garde pendant la nuit. Nous mettrons en place un fil piege avec fusées eclairantes. Nous aurions voulu louer un chien pour rajouter un peu de protection mais tous les organismes à qui nous avons posé la question nous ont répondu par la négative. Ils ont besoin de tous leurs chiens pour les sorties traineaux.
Avez-vous un plan ou un contact là-dessus?
Un gros gros merci aux bonnes âmes qui prendront le temps de nous répondre.
Karl.
Bonjour,
Pas de solution directe, mais, en y allant plus tôt (mars), peut-être pourriez-vous plus facilement louer des chiens (moins de touristes). De plus, les températures seront plus basses (-20 à -10 au lieu de -10 à 0), ce qui permet de rester au sec malgré les efforts.
Pour l'anecdote : j'avais participé à un groupe organisé par une agence. Nous avions deux chiens (loués). L'un d'eux était soit-disant chef de meute et capable d'attaquer un ours (pas testé). Dès la deuxième étape, il ne voulait plus bouger d'un pas (et c'est super têtu un malamute !). Solution : le ficeler (littéralement) au fond d'une de nos pulkas, et le tracter. Ben ou… C'est là que j'ai appris que "chien de traîneau" = "chien dans le traîneau". Apparemment, c'est parce que nous circulions hors des chemins utilisés par les mushers (qui doivent être à peu près toujours les mêmes), et que la bête avait donc peur dans cet environnement inconnu.