forez là où sur la carte IGN il est spécifié une ruine que je n'aie jamais vu, appelée les Brûladis
Soit il te faudrait aller moins vite, car sincèrement les virées que tu fais, ça m'épate carrément, j'en ai mal aux jambes rien que de te lire, soit il te faudrait prendre des lunettes8-), car cette ruine existe bien. Une fois j'avais cassé la croûte à cet endroit.
forez Et pour faire plaisir à N_75, à se pisser dessus de bonheur !
Je viens d'en placer quelques unes au coffre, mais j'ai bien cru que j'allais en manquer cet après-midi, faute d'en avoir suffisamment emportées avec moi :D
Samedi après midi au nord du Forez. Un peu gris, léger vent frais, neige extra et ballade dans les vallons du nord, la pigne Manjasson redescente et remontée vers le Fossat de la Loire sans y descendre completement et retour par la pigne et coté est. Quelques belles descente avec de beau virages à faire, et retour à bord de nuit pour les belles lumières, ont est refait. On devrait y retourner demain sans savoir encore ou, quant à que l’embarras du choix, on se décide au dernier moment en fonction de l'envie, de la météo,…
Entre les photos de Benbois et les sonnets de N_75, on est plus au SRN mais dans une galerie d'artistes :D:P Hier en tout début d'après midi, départ des Pradeaux derrière l'auberge sous de très faibles averses de neige avec - 4°. le soleil a tenté un percé mais le temps est resté couvert avec néanmoins une bonne visibilité, car d'en haut on voyait jusque sur Roche Gourgon. Neige super bonne comme la veille même si elle était un léger poil plus humide ce qui se ressentait à peine sur la glisse. 10 cm environ de plus depuis la veille, mais ça reste fragile quand même par endroit, sans sous couche. Par le barrage, direction la Tuile pour aller faire le vallon qui retombe à la route de Prabouré. là-haut un drôle de "spectacle", avec un gros volatile sans tête. Je pense que ce devait être une oie vu la taille et les pattes. Le "crime" était récent, il y avait encore du sang sur la neige. Sans doute un renard vu les traces. Sinon, sur la photo jointe, le vallon démarre tout en haut dans l'éclaircie de gauche là où il y a une maison qui est ce tout nouveau gîte ou refuge dit de la Tuile. La photo est prise dans la remontée juste au-dessus des chalets qui sont sur la gauche de la route en montant à Prabouré. A la fin du vallon on est juste obligé de suivre le bas côté de la route sur 200 m avant de prendre à gauche pour remonter sur la route forestière entre les Pradeaux et Prabouré, qui sert de piste de ski de fond damée normalement … Ensuite je suis remonté sur le plateau par la piste raquette, pour gagner le haut du téléski tout neuf de Prabouré, en fonctionnement, mais je n'y ai pas vu grand monde. Puis le haut de la plantation des Allebasses où les pistes des Supeyres, les seules dites ouvertes, étaient recouvertes de 10 cm de poudre, au grand dam de 2 skieurs qui m'ont dit que pourtant elles étaient bien payantes … Je leur ai répondu qu'en voyant ça, j'étais très content de faire du ski de rando … Puis descente à travers bois où c'était super extra. Il faut juste rester bien en arrière pour que les spatules déjaugent et n'aillent pas se coller sous une branche au sol et il suffisait de tortiller le derrière pour godiller … Que du bonheur à l'état pur comme la veille. Deux jours de suite c'est à conserver dans les annales. je suis redescendu comme ça à 400 mètres au-dessus du pont de la Fayolle pour regrimper sur le plateau et se faire comme la veille la descente sur le pont. Attention, cette descente se finit par des barbelés très haut, hélas … Il y a quelques années on traversait la piste de fond … Donc il faut 200 m avant le bas, basculer à droite sur la lisière du bois pour y rentrer et prendre une éclaircie qui permet de retomber sur la route forestière en évitant les barbelés. En effet, l'éleveur les a fait remonter jusque là. Puis retour tranquille par les jasseries de Fayevie où mes traces de la veille marquaient encore un peu, le barrage côté OUEST et le pré de la Marion pour avoir assez de neige et éviter les mauvaises surprises caillouteuses.
Là ça reneige même à 500 m donc petit à petit ça devrait le faire au moins pour cette semaine car c'est très fragile encore pour supputer à moyen terme, à moins et l faut l'espérer que le temps conserve son "hivernalité"
Ce dimanche matin, pour varier un peu et voir ce que ça "donnait" au SUD des Pradeaux, j'y suis donc allé. Et bien amis randonneurs: extra bon. La couche, variable bien sûr en fonction de ce que tous nous savons: exposition, humidité bois etc…je l'ai estimée à 20-30cm mini qui enfonçait peu sous les skis (5 à 10cm au plus). Température-1° au départ (8h30) et aussi au retour (11h). Vent de NO et petite chute de neige avant l'arrivée. Pas vu un "pèlerin" mais ai profité,sur le chemin dit "du chevreuil" de traces de skis plutôt étroits, que j'ai suvi jusqu'à la première habitation sous la route, à droite avant Molhiac.(Forez connait) J'ai d'ailleurs vus ces skis appuyés contre l'habitation, en me disant terminé le "plaisir", et bien non, il avait fait sa trace aussi dans un grand pré et juste la direction que je voulais prendre:P c'est quand même reposant et surtout qu'elle était bien faite. Arrivé au fond de ce pré, sa piste à droite ne m'allant plus je me mis à tracer sans trop de difficulté et arrivai dans un chemin également bien connu de "Forez" qui, surplombant les sources de la Ligonne revient sur Moissonnière. Je le quittai un peu plus loin et traversai le ruisseau sans trop de difficulté pour "enquiller" en face le bois le bordant. J'y trouvai un chemin de débardage et après un peu de "canard" dans la pente débouchai (dans la "purée") à découvert. Des prés puis 2 clôtures infranchissables pour ma taille, m'obligeant à déchausser, je me retrouvai enfin sur la piste-route forestière du puy de Loir. De là, Chougoirand (mes traces aller) et retour à la voiture via le relai et son chemin très bon en descente (pas fréquent vu les cailloux qu'il a…) Vu 3 voitures au retour garées en haut de la "piste de luge" improvisée dans le pré de "Marinette" et une seule garée sur le "soit disant parking DE L'AUBERGE", qui en fait est public. Pour un dimanche fin de matinée et des pistes proches, c'est peu et me conforte dans l'idée que le ski de piste est en perdition. Mais je tire mon chapeau à ceux qui oeuvrent quand même auprès des gamins pour les encadrer car ils sont mieux là que sur des engins motorisés (pas vrai Bernard?)
Cet après-midi, départ vers le hameau du Suc avec forez63, direction le sud des Pradeaux. 10 cm de plus pour une couche très variable mais avec toujours des zones humides. D'ailleurs la neige ne tient pas sur les routes qui sont très légèrement enneigées à la montée vers 13h15 et au goudron vers 16h30. Les légères chutes de neige du début de sortie allaient s'espacer puis s'estomper à la fin pour laisser même entrevoir le soleil derrière des nuages qui se disloquaient. Neige un peu humide, bonne bien sûr, mais moins glissante que les autres sorties. T° de -2°, vent du NORD sur le retour qui congérait et bizarrement, en altitude, les nuages filaient poussés par un vent de SUD … :D) : la première dans le grand pré de Chougoirand, avec les maisons sur la droite. Puis sur les berges de la Ligonne et enfin au retour sur Chougoirand avec la tour TV des Pradeaux rayée blanche et rouge sur la gauche.
Donc mon CR a sa place ici : Je rentre de 1h30 en nocturne avec mes 2 chiens. SRN de proximité, à quelque centaines de mètres de la maison., à pieds avant de chausser dans un grand espace vert de St Étienne. 10 cm de fraiche, avec le fartage chaud des dernières sortie, ça collait pas.
Pas de frontale, lumière de la ville largement suffisantes.
Je vois que les foréziens du Foreze s'en donne en ce moment ….
Eh oui ! Comme tu ne viens plus on est obligé de rappeler le personnel en congés Le ruisseau toujours aussi large en 2 bras, j'ai trouvé de suite à droite après la descente, à le traverser, là où il s'est canalisé à nouveau dans son lit. Un résineux assez branchu est tombé juste au bon endroit où déjà le ruisseau est bien resserré. Ce passage praticable les skis droits, se trouve à l'aplomb de la ruine, la seule construction de la Fayolle en bord droit de la route forestière, alors que toutes les autres jasseries sont alignées sur la gauche en direction de Prabouré. De là je suis remonté sur le plateau où une neige limite grésille poussée par un vent de OSO soufflait un peu. Visibilité à 50 m pour traverser le plateau est plonger par l'ancienne piste de fond devenu piste d'alpin et baptisée la Forestière par la station de Prabouré. Ensuite le pré des deux chalets pour longer la route de Prabouré et remonter le vallon jusqu'à la Tuile. Le parcours est mieux dans l'autre sens, la descente étant plus longue. Vers la toute nouvelle jasserie refuge de la Tuile, j'ai rencontré le jeune propriétaire qui m'a indiqué qu'ils vivaient là en permanence et que le refuge comptait 10 couchages. Donc à noter ! Puis retour classique par le rocher Y, magique à descendre, puis le chemin du réservoir où un 4X4 était passé (depuis que les voies sur berge sont fermées à Paris, ça migre), obligeant mais c'est pas plus mal car le chemin est pourri quand même, garni de trous gorgés d'eau, à passer à droite dans le bois pour rejoindre le carrefour et filer achever la ballade par la descente des Ronzières, dans un gros brouillard grésillant. Mais rien ne tenait sur la route.
Ce mercredi retour d'une sortie au sud des pradeaux.chougoirand les sources de la ligonne moissonniere molhiac et retour. Température -4 très bonne neige environ 45cm. Vent de nord.
Ce vendredi matin, profitant du soleil, j'ai opté pour les Pradeaux(le plus près pour nous) et plus précisément la "combe à Marcel" que je savais être parfaitement enneigée car bien protégée des variations de températures ou autres vents néfastes pour la "matière première"…Celle ci n'y manquait pas, rendant même la progression difficile eu égard à la pliure des petits hêtres entre lesquels il fallait naviguer. Donc, parti par la piste raquette derrière "chez Maurice", je longeai le barrage dans des traces de "Forez" d'il y a quelques jours, encore apparentes par moment. Je les laissai un peu plus loin pour m'engager dans la combe aux 4 passages de "RU" (pour rappel: ancienne piste de ski de fond venant du suc de Montchaud)…J'évitai le premier par la gauche, et zigzaguait au fil des possibilités entre la végétation ployante, en direction du haut de la combe. Les 3 passages suivants ne furent pas faciles tant les ruisseaux sont garnis actuellement, et il n'était pas question de faire le funambule sur les les 2 traverses SNCF d'une vingtaine de CM de largeur encore en place…Enfin la sortie tout en haut, au pied du suc de Montchaud, sur les pistes impeccablement damées du Domaine Nordique, sans aucune trace de skieur sur les quelques centaines de mètres empruntées, avant de basculer en direction du "grand pré de Fayevie" et de rencontrer à nouveau, plus bas, des traces de "Forez" coupant le chemin. J'allais faire le tour maximum de celui ci puis revins sur le haut du barrage pour retrouver plus loin, quand même avec plaisir, mes traces aller. La suite fût rapide tant la neige était glissante, et, seule rencontre, presque à l'arrivée, 2 "raquetteuses" en partance. Je tenterai de joindre une ou deux photos de cette petite sortie…Bonne continuation à tous.
Ce samedi après midi départ du béal direction PSH. Un max de neige ça passe partout, même très bien pour la descente de la Chamboite. Psh est resté dans le brouillard du coup au retour on est passé par l'est de Procher pour la vue. Quelques belles décente, dont une du rocher pavé à la chamboite en bordure de la congère bien fournie cette année. Mercredi passé j'éais aussi de sortie et on y retourne demain. Superbes ambiances en ce moment et ça devrait durer un bon peu.
Petite sortie hier (4h15) à la haute vallée ou la neige était de qualité (poudreuse) avec un -8°c ds la nuit… Aujourd'hui c'est de la pluie/neige! avec le retour des températures positive (2 . 5°c vers1100m)!!
Belles photos "Fourinas" et particulièrement la dernière:angel: La fin du parcours par le chemin qui surplombe le pré de "Yves" fût un régal dans une bonne neige bien glissante. A noter qu'au fond de ce chemin à été damé un petit bout de terrain que j'ai emprunté par curiosité, et qui débouche (ou part) de la "cour" de l'auberge. Curieux…!!
N_75 Question fixations, j'ai personnellement opté pour la norme 75 il y a environ 25 ans, pour la bonne et simple raison qu'à l'époque c'était la seule à offrir parallèlement des chaussures un tant soit peu rigides et imperméables grâce au cuir. C'était en fait des godillots avec une excroissance en bec de canard ! Je les possède et utilise toujours…A l'époque le Telemark commençait à se développer en France, et comme il utilisait cette norme, j'ai persévéré. Et 25 ans plus tard, tout mon matériel acquis depuis est équipé avec la même norme ce qui me permet de varier chaussures et skis en fonction des sorties. Ces fixations peuvent être équipées de câbles ou de ressorts, ces derniers plutôt destinés de mon point de vue aux terrains plus accidentés (mais cela n'engage que moi !), et de cales de réhausse, le genre de truc qui ne mange probablement pas de pain (au moins sur le papier, à lire également un sujet ouvert par Sancho il y a quelques semaines). Quand aux cales de montée, je n'en ai jamais éprouvé l'utilité car je pars en traversée conversions avant que les mollets crient grâce (je parle toujours pour moi) .
Il y a par ailleurs ce que j'appelle les nouvelles normes mais que je ne sais différencier, car chaque marque développe ou a développé la sienne. Mais tout divorce coûte cher, et le jour où on veut aller voir dans le pré d'à côté si l'herbe est meilleure, il faut passer au guichet, et changer chaussures et fixations. Je sais que certains sont passés par cet épisode, même pour comble en restant dans la même marque. Je l'ai connu à l'époque où je pratiquais le ski de fond, mais je ne sais si c'est toujours d'actualité, les inconditionnels de ces normes n'intervenant pas dans les discussions sur le forum. A eux de présenter les arguments…
Côté chaussures, à suivre le forum, les Crispi Svartisen paraissent faire l'unanimité, même s'il existe probablement de bons modèles à côté. Je les possède, et sincèrement que ce soit sur les pistes du col de la Loge ou dans Banban, elles répondent présent, même si dans ces cas extrêmes (pour le massif) il existerait des modèles plus adaptés mais au prix d'un manque de polyvalence.
Et question ski, les savoyards, les jurassiens et les grenoblois semblent opter pour du large, mais avec nos neiges à la con, et nos terrains ni pentus, ni plats, il nous faudrait trop souvent 3 paires dans la même journée pour bien faire…Au sud, je crois qu'il y a même débat en famille, alors…???
Donc si j'ai bien compris pour les terrains + accidenté mieux vaux la norme N75 car chaussures + rigide et possibilité de mettre cable et ressorts de rappel talon….? je crois que mes vieux ski de fond sont à la norme 75 (année 80)…
Salut amis du hors trace et de la nature. Ce mercredi après midi, rentrant d'une ballade à partir des Pradeaux, je vous fais part des conditions d'enneigement et approximativement de mon parcours. Tout d'abord la neige, couche de 30 à 40cm, enfonçant de 5 à 10cm, glissante et suffisamment "retenante" par une température de 0 à + 4°…Mon parcours en gros car pas mal de bois, s'est situé entre les pistes raquettes au départ (chez Maurice) puis le lieu dit "la détourne" ou j'ai pris le chemin de Chomy où je n'étais pas passé depuis pas mal de temps avec l'intention d'aller jusqu'à la "cabanne Bernard, mais après avoir dépassé la clairière du "Furodin", plus loin je montai dans le bois à droite et revins en direction de cette dernière. Une fort belle éclaircie que je remontais jusqu'à la maison qui est tout en haut. De là, "au pif" dans le bois, je trouvais la clairière dite "des 4 chemins" et pris le premier (le plus direct) pour atteindre le suc de Montchaud. Je fis le grand tour de l'éclaircie pour descendre sur le lieu du bivouac récent de "Forez"…De là les pistes damées, puis le bois qui surplombe le pont de la Fayolle, un petit bout de piste désert puis le bois de Fayevie jusqu'au fond du pré où je retrouvai mes traces de dimanche, pour terminer par un petit bout damé, puis le chemin dit "des raquettes" pour une descente agréables dans la poudreuse jusqu'à "chez Maurice". Du beau temps sans vent et une température agréable. Il faut si l'on peut, en profiter.
fourinas Donc si j'ai bien compris pour les terrains + accidenté mieux vaux la norme N75 car chaussures + rigide et possibilité de mettre cable et ressorts de rappel talon….?
Je me garderai bien d'écrire ceci car je n'ai jamais skié avec les nouvelles normes (je les englobe sous cette appellation bien personnelle). J'ai expliqué pourquoi je suis parti sur la norme 75, en 1995 de mémoire, et il s'avère qu'avec le recul qui commence à être pas mal, mon choix me satisfait. Dans les faits, je remarque que ceux du forum qui fréquentent des coins qui penchent sont en norme 75. Le télémark est sur cette norme. Elle est évolutive avec les câbles, ressorts, et cales de réhausse. Et question chaussures, les mêmes existent dans la norme 75 et en nouvelles normes. Par contre les premières sont montées en semelles Vibram, et je ne pense pas les autres. Donc encore un point qui me conforte dans mon choix lorsqu'iil faut marcher. Mais j'ai skié quelques fois avec forez qui est équipé en nouvelles normes, et il est à l'aise avec. Je pense donc qu'il y a des inconditionnels des deux côtés.
fourinas je crois que mes vieux ski de fond sont à la norme 75 (année 80)…
Oui c'est fort possible, mais je doute que les chaussures actuelles s'emboîtent car le bec de canard est bien plus épais. J'ai eu personnellement le même système mais en 50mm, et le seul point commun est la présence de 3 picots. Même si celles des années 70-80 sont bien légères en comparaison, le principe est le même. A l'époque ce qui pêchait, c'était les godasses qui étaient faites (au moins les miennes) en chewing-gum.
Merci à Jacou pour ces infos lointaines. Ici (Pradeaux) toujours de la neige ce matin (vendredi) parti encore de "chez Maurice" j'ai emprunté les pistes raquettes sous une pluie fine et une température de +4°. La neige (environ 30cm) est bonne malgré tout…J'ai pris la pite verte (fermée aux usagers pourquoi?) puis, arrivé au lieu dit "la détourne" ai continué à droite sur les pistes bien damées jusqu'au lieu dit "les 4 chemins". Ici j'ai pris, contrairement à mercredi le 2ème chemin en face souhaitant occulter le suc de Montchaud, faute de temps. Arrivé en buttée sur celui qui, de la cabanne Bernard monte au suc, je pris à gauche jusqu'à cette "cabanne" qui en fait est un petit bâtiment assez bien entretenu, qui appartenait à "Pédro" d'Ambert, que j'ai connu, et qui en a fait don autant que je sache, aux scouts de la ville. Ce lieu, en hauteur, est très connu, et fréquenté par les Ambertois. J'y trouvai d'ailleurs une trace de skis venant de la vallée. De là, descente sur la piste de Chomy, bien pourvue en neige, et cap au sud en direction des pradeaux. Il me tardait d'arriver sur ma trace d'avant hier (au niveau de la clairière du "Furodin" car, en montée, la trace n'était pas facile. Le renard ne s'y était pas trompé, ayant suivi celle ci pendant une bonne centaine de mètres (pas bête quand même…:D.Enfin ma trace encore visible jusqu'à "la détourne". Puis la "verte" marquée fermée, à l'envers, le haut du barrage, et la descente, pas encore faite cette saison, le long du mur (partie à skis, partie à pieds). Pour finir, la route de ce dernier en échappant dès que possible à sa monotonie par le sentier parallèle qui mène derrière l'auberge. Pas un chat au cours de ma virée (pistes et hors pistes). Pas de voitures au col en dehors de 2 devant l'auberge et de celle des "crêtes du Forez" au départ des pistes. OK le temps n'était pas "terrible" mais quand même, ce sont les vacances…
N_75 Oui c'est fort possible, mais je doute que les chaussures actuelles s'emboîtent car le bec de canard est bien plus épais
ça dépend des fixations, j'ai plusieurs paires de TROLL ou il faut vraiment des semelles "fines", mais j'ai aussi une paire de Rottefella "fond" où les chaussures actuelles (Svartisen par ex) passent bien